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Masmer Sep 2018
A celui dont le ciel a maudit les mirettes,
Comme vieil oiseau à l’aile artificielle.
Vole, bien peu adroit, accepte mais rejette,
En deuil de la clarté, et pleure sa lourde attelle.

Celui qui en dépit des voix et des regards
Ne tira pas la bride, au quadruple galop
S’enfonça dans le trou, la vie et son traquenard.
Et maintenant de son être recherche les morceaux.

Enfin, l’exotique reptile, exhibant ses atouts :
Sombres et ternes couleurs ornent son capuchon,
Pourtant si attirantes, quand il se tient debout.
Il porte ce qu’il trouve beau, c’est sa grande conviction.

Volatile épuisé, serpent ou équidé,
Le bipède leur donnera sa petite mine d’or,
Dans son pelage blanc, coton immaculé.
L’Homme vit uniquement pour défier la mort.
Hey here's a poem in French, because I like writing and I'm French so heck.
Dans ce bar dont la porte
Sans cesse bat au vent
Une affiche écarlate
Vante un autre savon
Dansez dansez ma chère
Dansez nous avons des banjos
Oh
Qui me donnera seulement à mâcher
Les chewing-gums inutiles
Qui parfument très doucement
L'haleine des filles des villes

Épices dans l'alcool mesuré par les pailles
Et menthes sans raison barbouillant les liqueurs
Il est des amours sans douceurs
Dans les docks sans poissons où la barmaid
Défaille
Sous le fallacieux prétexte
Que je n'ai pas rasé ma barbe
Aux relents douteux d'un gin
Que son odorat devine
D'un bar du Massachussets

Au trente-troisième étage
Sous l'œil fixe des fenêtres
Arrête
Mon cœur est dans le ciel et manque de vertu
Mais les ascenseurs se suivent
Et ne se ressemblent pas
Le groom nègre sourit tout bas
Pour ne pas salir ses dents blanches
Ha si j'avais mon revolver
Pour interrompre la musique
De la chanson polyphonique
Des cent machines à écrire

Dans l'état de Michigan
Justement quatre-vingt-trois jours
Après la mort de quelqu'un
Trois joyeux garçons de velours
Dansèrent entre eux un quadrille
Dansèrent avec le défunt
Comme font avec les filles
Les gens de la vieille Europe
Dans les quartiers mal famés
Heureusement que leurs lèvres
Ignoraient les mots méchants
Car tous les trois étaient vierges
Comme on ne l'est pas longtemps.
Oh ! qui me donnera d'aller dans vos prairies,
Promener chaque jour mes tristes rêveries,
Rivages fortunés où parmi les roseaux
L'Yonne tortueuse égare au **** ses eaux !
Oui, je veux vous revoir, poétiques ombrages,
Bords heureux, à jamais ignorés des orages,
Peupliers si connus, et vous, restes touchants,
Qui m'avez inspiré jadis mes premiers chants.
Parfois, je me sens pris d'horreur pour cette terre ;
Mon vers semble la bouche ouverte d'un cratère ;
J'ai le farouche émoi
Que donne l'ouragan monstrueux au grand arbre ;
Mon cœur prend feu ; je sens tout ce que j'ai de marbre
Devenir lave en moi ;

Quoi ! rien de vrai ! le scribe a pour appui le reître ;
Toutes les robes, juge et vierge, femme et prêtre,
Mentent ou mentiront ;
Le dogme boit du sang, l'autel bénit le crime ;
Toutes les vérités, groupe triste et sublime,
Ont la rougeur au front ;

La sinistre lueur des rois est sur nos têtes ;
Le temple est plein d'enfer ; la clarté de nos fêtes
Obscurcit le ciel bleu ;
L'âme a le penchement d'un navire qui sombre ;
Et les religions, à tâtons, ont dans l'ombre
Pris le démon pour Dieu !

Oh ! qui me donnera des paroles terribles ?
Oh ! je déchirerai ces chartes et ces bibles,
Ces codes, ces korans !
Je pousserai le cri profond des catastrophes ;
Et je vous saisirai, sophistes, dans mes strophes,
Dans mes ongles, tyrans.

Ainsi, frémissant, pâle, indigné, je bouillonne ;
On ne sait quel essaim d'aigles noirs tourbillonne
Dans mon ciel embrasé ;
Deuil ! guerre ! une euménide en mon âme est éclose !
Quoi ! le mal est partout ! Je regarde une rose
Et je suis apaisé.
Sonnet.

Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir !
Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie.
Quel que soit le chemin, quel que soit l'avenir,
Le seul guide en ce monde est la main d'une amie.

Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m'ennuie.
Mais qu'importe ? L'espoir de vous voir revenir
Me donnera, malgré les dégoûts de la vie,
Ce courage d'enfant qui consiste à vieillir.

Quelquefois seulement, près de votre maîtresse,
Souvenez-vous d'un coeur qui prouva sa noblesse
Mieux que l'épervier d'or dont mon casque est armé ;

Qui vous a tout de suite et librement aimé,
Dans la force et la fleur de la belle jeunesse,
Et qui dort maintenant à tout jamais fermé.
NGANGO HONORÉ Mar 2021
Lyn
Une vie a moi
Une  vie pour toi
Pourquoi ne pas les unir pour en faire une a
                                                               ­   nous
Les partager pour pour en faire un futur a
                                                                ­  nous

Vivre l'existence
Existons quand le ton est agréable ou
                                                            non

S'il est capable d'unifier nos idées
                                           nos points de vues
                                           nos perspectives
                                           ambitions et
                                           projets futur

Alors je te promets d'être la jusqu'à mon
                                           dernier souffle



Souffler pour toi
M'essoufler pour toi
Jamais ésseuler  je serai
Si tu me donne cette garantie
La vie me donnera toujours d'être la
                                                  plus nantie

Je te promettrai pas le ciel avec moi
Je te soumettrai non plus a l'enfer
Je serai la Je serai lui
Lui que ta connu
Et que ta voulu

Pour lui t'es l'élu
Le joyaux perçu au ****
Qui vaut l'éloignement des plus loyales
Si le tout puissant ayant apposé son cachet
                                            ils s'oppose toujours



Je remercie le Ciel
Les miens sont tiens
Parviendrons nous au but Ultime
                         un sans pour l'Ultime
Hello guys

— The End —