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Kyle T Jan 2012
The dogs chew at my flesh,
**** my bones dry, and leave the pickings
for the pigs.

Heavens explode and render planets
asunder. Stellar paint sprays my body,
a canvas for an irradiated rainbow.

A flower blossoms. Shall it grow in the
acid rain? In the humid heat of the tomb?
Before the blood bees come?

Oh if only I knew, if you knew, what was
happening in this body of mine. A prison of
flesh, or is it freedom?

Freud says it’s mama-love, but I say that’s
crap. Bologne. Beach-fried spaghetti.
Too bad that tells me nothing.

These images, thoughts, urges fly through
my head, one violating the next like some
sick funhouse ride.

Will it stop? No it won’t. Yes it will. I hope
not, but that would be boring. Like a
corpse in its grave. Rotting.


I think I’ll live a little,
won’t I?

Maybe a little, just a little, til
this wave of pain subsides and turns
back into pleasure.

To pursue it would be folly, and to
walk away would be worse. A choice
of die or dive. Shall I?

Into a sea of maggots, a tornado of
blood and flesh and god-knows-what.
But that’s okay with me.

Once I figure out what the **** I’m doing.
Mords-moi, ma Muse
Pince ton Musc
Crie ta rage
Cours **** de moi
Griffe-moi
Pleure, grogne, hurle
Débats-toi
Je suis là pour ça
Je suis là pour toi
Pour que tu puisses vivre ton monde
A ta guise
Pour que tu puisses danser comme une veuve joyeuse
Et rire aux éclats quand ça te chante
Je suis ton ombre thérapeutique
Ton ombre thérapeutique
Ton ombre thérapeutique

Gribouille sur mon corps
Tes rêves indescriptibles
Tes cauchemars imperceptibles
Prends la craie ou l'encre de Chine
Dessine-moi Pierrot et Colombine
Et barbouille-moi de Pinot blanc
Ou barbouille-toi de Pinot noir
Ou barbouille-nous de Cabernet Sauvignon
Qui coulent comme des fleuves où flottent
D'étranges gargouilles mélancoliques.
Je suis ton ombre thérapeutique
Tu fais rugir l'animal féroce et sauvage
Qui sommeille au fond de moi
Tu fais le musc monter en moi
Et il faut que je me domine
Quand le musc entre en rut
Au fond de la Muse.

Quand tu commences ton cirque
Quand ta tête tourne tourne tourne
Sous les pieds des otaries géantes
C'est moi qui bois du vin clairet
Du sylvaner ou du gewurtstraminer
Quand tu fais l 'éléphant et que tu barris
A la vue d'un sucre ou d'un café nu
Je me ressers un verre de prosecco italien
Et je me rince la gorge avec un dé d'eau de vie de mirabelle
Quand tu me lacères de ton fouet
Pour dompter les tigres de Bengale
Qui jonglent à travers les lacs de tes yeux
Je vide une bonne bouteille de Bologne
Et je suce la cuillère de sirop de batterie
Mélangé au citron vert
Quand ton regard se fige
Et qu'immobile comme une chatte tu restes à l'arrêt
Je me transforme en pelote de laine
Et je me balance sous tes yeux comme un pendule
A droite à gauche
A droite à gauche
Et je sais que tu attends que le coucou sorte à l'heure
Du fond de sa cage au fond de l'horloge
Et qu'il plonge dans tes eaux
Car je suis ton ombre thérapeutique
Ton ombre thérapeutique
Ton ombre thérapeutique
Alfredo Ron Sep 2018
Cyanide capsule in the mouth of a ******
roses in the hands of a man with no wife
blue prison walls repainted dull grey
birds take flight in a thundering sky

Yellow tie hubris in the staff rooms of madness
expletives ring out, they're competing for cash
speaker of the house eats a bologne sandwich
ten million die at the drop of a hat

Patriotic songs blare out of a jukebox
some punk shoots a birdie as he walks on by
a little kid inspired by the rebellious gesture
salutes the flag then starts to cry

— The End —