Voyez-vous, au-delà de ses falaises, Se trouve une porte scellée. Dont moi seule possède la clé. Incruster dans la roche solidifiée. Dissimuler par le bleu de la mer. Mes secrets, seront à jamais emmuré, Pour l’éternité. Soigneusement gardé, Par des créatures nacrées, Dont les chants envoûtés, Vous berce, dans les profondeurs abyssales, Où le silence règne, parmi les coraux et les opales. Oh ! toi mon jardin, aux secrets bien vénales, Où les trésors cachés dévoilent leurs spirales. Je reviendrais, en saison hivernale, Te compter, une histoire impériale. Mais pour l’heure, je m’en vais, aux épousailles, Non **** d’ici, à quelques kilomètres par-là. Par l’écume et les oules, je te confie ce cristal, Taillé dans le corail, scellant des âmes royales.