Ma mère est la douceur de l’Everest L’instant avant que le torticolis n’apparaisse Ma mère nourrit ma rage d’anxiété Ma douce mère je la fais parfois pleurer
Ma mère est la quiétude d’un tsunami La paupière pourpre du sommeil trahi Ma petite mère a les épaules qui tombent, exténuées . . . Pardonne-moi maman, je suis si désolée