Qui entendra mon cris du cœur, ce léger frisson dans la nuit? Quand comprendrais-je que je n’étais qu’une bouche où il a pris appui? Recroquevillée dans ma douleur, la musique pour remplir le vide des promesses oubliées. Ressassant le passé, croyant y trouver la réalité qui me rendra ma vitalité.
Rien de plus qu’une chair humide et naïve, Maintenant mes sentiments se mettent en exil. Mon corps et mon âme s’emportant au rythme de sa vigueur. Devenue femme au gré de mains pleines de douceur. Des mots ravageurs pour faire mourir l’innocence. Une nuit remplie de souvenirs à jamais synonyme de souffrance.
Une lourdeur noire écrasant ma poitrine. La vie est bien plus belle de l’autre côté de la vitrine. À bout de souffle à force de me battre contre mes propres pensées. Tout en moi se met à dériver vers ce tourment de culpabilité.