Et voilà, enfin je renais, Enfin je retrouve l’envie, Le plaisir d’être ici, Mais sans regrets, jamais.
Un an à attendre, c’est long. Alors où vais-je, maintenant ? Je vais pouvoir assouvir mes passions, Écrire, penser, sur tout en même temps.
Je vois bien tout ce petit monde, Dans lequel je me retrouve mieux. Dont l’esprit si ouvert qu’il vous surplombe, Vous fait perdre l’equilibre, c’est curieux.
C’etait sûr, je n’aurais plus peur, Comme tous ces jours à m’demander, Si j’allais sortir de cette torpeur, Pourraient enfin éclairer mes idées.