Tu es le pèlerinage de mon cœur et mes mains se posent sur ton corps Comme elles se poseraient sur le sol des lieux saints Je me demande encore comment tu peux le faire battre aussi fort Parfois la douleur est si forte que je veux y mettre fin
Mais comment pourrais-je cesser de croire au miracle que tu incarnes Tandis qu'il est le seul à apporter de la valeur à la vie que je mène À genoux, je regarde mes mains et je m'acharne Je prie pour que les mécréants de notre amour ne nous gênent
L'idée que tu pourrais n'être qu'une illusion pour adoucir mes nuits Me déchire le cœur et attriste ma poésie