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Mateuš Conrad Jan 2017
i'll write my german like my father soap operas his english, mangled, and disturbed... i mean grossly misjudged.. i mean like: did anyone really understand him? they must have since he now has a house... but then i was too lazy to begin with... which is nice, to begin with... i mean: that nice: clap clap... clap clap... all i need is a hope for encore... it's Borat pseudo Kazakh nice... i mean, i can speak the most perfect assimilation tongue for my host nation and end up on the street... just like i might become the ****** argument in germany... where i actually left my docier... now i love to write a bit of dangling ******* in german, dunno, maybe the pole in me felt like it... thankfully no knows jackshit about Polish history, or Mongolian history after Genghis Khan, therefore i'm not prone to a phobia of repeating historical demands! i mean: who the **** remembers John Casimir in the anglophone world?! umm... no one?! hurrah! we get the blond penguin tuxedo quiff juggernaut into power... but allah'u akbar... it wasn't the playboys of Dubai!

nein!
du kann nicht eine
  zivilisiert brutus,
mit verschwendenvolk
führ hyänewirbeln....
ja... art sortieren kindsouffle
wie mehrsaga...
   hinweis papa-pauß?
deine ein sauer antlitz...
ein fuchs-hyäne: herablassend,
trocken- nordpol otto theodor,
                 ein! sú!

i basically write the broken limb tongue my father speaks
on a construction site...
          i mean he speaks out of time, and sometimes
out of place...
   and every time i write his invoice i am
left heart relieved, had i a romance: i've be broken.
                        but the funny thing is,
i write this ******* and i can't even own a coffee machine
having said it...
             he speaks pish-boor english and gets a house,
a t.v. and a car....
      i write this perfect assimilate english and get
a postcard from australia: thanks, move here.
                   i'd hate to imitate the jew and turn to be
a nomad...
               but globalisation evidently demands that of me...
   it just gets boring after a while,
with all these needs and Neds trying to compete,
i just want to end up failing with fireworks...
become god at the age of 33...
                     and **** the rest of it if i should live
to be 66...
                        ah, come on man,
show some veterinary bias...
            some cult, some basis and futurism without
a regressive attitude... give the dauch the scoop...
and the lady her pooch pouch of vogue!
                  ah, then you're like me
talking german, like my father talking english...
perfectly... via fuchs-hyäne: perfect to the laugh
defining night; or licken-icken:
          für deutsche! über alles: für deutsche!
do brody, byczo jest! und nichts est!
               nienen warschau mitteklasse!
schwarz zirkusegen schatten: krächzen!
                pirdolony or-zełek twy... hujnia i motywa
      na badziewie.... mówi: matka... a potym... kórwa.
ha ha ha ha ha ha!
a po co ty i ten cymbał azjatyk? ten czambo kazak
i  pierdolony cynamon?! huh?!
po jebaną plombe, kasztan, mogiła, figa i pflaume
            i śliwowice?!
Liban na odzew reszty oliwek?! pospolity ruch?
   wnikąt rzeszy! masz! masz marsz kurwa na stambuł po wnót!
Sobieski Sobieksi i na głowie szambo!
te pizdy znów ci zawrót i chęć i nadzieją dały z
          genezą na coś by początek nie smiały miał być?
   ale tak naprawde nie tu... rogiem of warszawe roku '44...
bo wszystkich zycek wybito gazem,
gina musztardowym *smrodem
... senfstinken...
                    furzschreiten...
to wtedy tak naprawde to:
tak naprawde poza Warszawą to powstanie do głuchych
          oślą mową wzdycha wzbogaceniem zdobytą
                                 psim sumieniem i czekam na zdobycz
            to zwane honor i państwo... czyli
wszystko braku na uniwerku... póki braku ideału...
no ta... cerkwiew Piłsudskiego! ach ten wąs! niby Stalin!
ale brak tego romantyzmu z nad Litwy!
co ma ten sławny wąs z pod Gruzji!
już mi miód w portkach!
       na ten twój! w ochote i zamiar tchuża i
                             żacier w mgłe i proch!
jak i w papier i piasta mrok w paproć o zacier modlitw
                         i czarów!
       kłam ty oczekiwań mioteł i motyli takich fabryk
których... kochasz...  
oj oj... wmojym gardle hydra!...
                 na tyle narodów ile da sie pokrewni nadrobić
brata i siory... tak, dam te wojenke...by tańczył mi kozak!
a o tobie wspominał mnie jakiś tajny Romon zwany Wład,
Piłat ******!
             ksywa: wampir... nie wiem...
sporo drwena na maczugi... ale nie wiem po co on chciał
  tak na ostrzyć jak na ołówki... w dupy macać?
Il n'avait pas vingt ans. Il avait abusé
De tout ce qui peut être aimé, souillé, brisé.
Il avait tout terni sous ses mains effrontées.
Les blêmes voluptés sur sa trace ameutées
Sortaient, pour l'appeler, de leur repaire impur
Quand son ombre passait à l'angle de leur mur.
Sa sève nuit et jour s'épuisait aux ******
Comme la cire ardente aux mèches des bougies
Chassant l'été, l'hiver il posait au hasard
Son coude à l'Opéra sur Gluck ou sur Mozart.
Jamais il ne trempait sa tête dans ces ondes
Qu'Homère et que Shakespeare épanchent si profondes.
Il ne croyait à rien ; jamais il ne rêvait ;
Le bâillement hideux siégeait à son chevet ;
Toujours son ironie, inféconde et morose,
Jappait sur les talons de quelque grande chose ;
Il se faisait de tout le centre et le milieu ;
Il achetait l'amour, il aurait vendu Dieu.
La nature, la mer, le ciel bleu, les étoiles,
Tous ces vents pour qui l'âme a toujours quelques voiles,
N'avaient rien dont son cœur fût dans l'ombre inquiet.
Il n'aimait pas les champs. Sa mère l'ennuyait.
Enfin, ivre, énervé, ne sachant plus que faire,
Sans haine, sans amour, et toujours, ô misère !
Avant la fin du jour blasé du lendemain,
Un soir qu'un pistolet se trouva sous sa main,
Il rejeta son âme au ciel, voûte fatale,
Comme le fond du verre au plafond de la salle !

Jeune homme, tu fus lâche, imbécile et méchant.
Nous ne te plaindrons pas. Lorsque le soc tranchant
A passé, donne-t-on une larme à l'ivraie ?
Mais ce que nous plaindrons une douleur bien vraie,
C'est celle sur laquelle un tel fils est tombé,
C'est ta mère, humble femme au dos lent et courbé,
Qui sent fléchir sans toi son front que l'âge plombe,
Et qui fit le berceau de qui lui fait sa tombe !

Nous ne te plaindrons pas, mais ce que nous plaindrons,
Ce qui nous est encor sacré sous les affronts,
C'est cette triste enfant qui jadis pure et tendre
Chantait à sa mansarde où ton or l'alla prendre,
Qui s'y laissa tenter comme au soleil levant,
Croyant la faim derrière et le bonheur devant ;
Qui voit son âme hélas, qu'on mutile et qu'on foule,
Eparse maintenant sous les pieds de la foule ;
Qui pleure son parfum par tout souffle enlevé ;
Pauvre vase de fleurs tombé sur le pavé !

Non, ce que nous plaindrons, ce n'est pas toi, vaine ombre,
Chiffre qu'on n'a jamais compté dans aucun nombre,
C'est ton nom jadis pur, maintenant avili,
C'est ton père expiré, ton père enseveli,
Vénérable soldat de notre armée ancienne,
Que ta tombe en s'ouvrant réveille dans la sienne !
Ce sont tes serviteurs, tes parents, tes amis,
Tous ceux qui t'entouraient, tous ceux qui s'étaient mis
Follement à ton ombre, et dont la destinée
Par malheur dans la tienne était enracinée ;
C'est tout ce qu'ont flétri tes caprices ingrats ;
C'est ton chien qui t'aimait et que tu n'aimais pas !

Pour toi, triste orgueilleux, riche au cœur infertile,
Qui vivais impuissant et qui meurs inutile,
Toi qui tranchas tes jours pour faire un peu de bruit,
Sans même être aperçu, retourne dans la nuit !
C'est bien. Sors du festin sans qu'un flambeau s'efface !
Tombe au torrent, sans même en troubler la surface !
Ce siècle a son idée, elle marche à grand pas,
Et toujours à son but ! Ton sépulcre n'est pas
De ceux qui le feront trébucher dans sa route.
Ta porte en se fermant ne vaut pas qu'on l'écoute.
Va donc ! Qu'as-tu trouvé, ton caprice accompli ?
Voluptueux, la tombe, et vaniteux, l'oubli !

Avril 1831.

— The End —