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Joss Caisequilla Feb 2013
No quisiera molestarte, ni incomodarte como estás:

Bella, deseable como siempre, y perfecta hasta los pies.

No es iniciar en ti mi vida lo que busco, no busco lo impensable.

No espero lo improbable; no deseo aquel romance.

Trastornado en tu cintura, vuelto loco entre tus pechos.

Maravillado ante tus labios, impresionado con tus ojos.

Hacerte mía es lo que quiero, comunicar lo que con versos, sólo no puedo.

Aprisionado entre el deseo y la barbarie, siento el único motivo;

Por infestar tu piel tan blanca, y obscurecer tu inocencia.

Por desgarrar tu coquetería, y seducir tu templez.

Por impregnar tu olor en mí.

Por desvariar pensando en ti.

Por inventarte como te vi.

Por desnudar tu sencillez, y poseer tu timidez.
NC May 2021
Sachant toute la peine dont je suis cruellement frappée, je ne peux me résoudre à souffrir sous les coups d’un autre. Il paraît impensable de laisser volontairement entrer un second voleur dans mes entrailles. Je ressens encore les vils cicatrices qui m’ont été si sauvagement assénées. Mon corps, marqué au fer rouge, implore d’être à nouveau convoité. Un malfrat s’est emparé de ma lueur incandescente. Un maigre feu vacille désormais aux moindres tressaillements. C’est au gré des pleurs que meure le dernier éclat de mes jours heureux.

Je n’ai eu de cesse que d’aimer, sans porter une réelle attention aux frasques enfantines. Aveuglement, c’est de cette manière que j’ai perdu pied. Le sol s’est dérobé et aucun rafiot ne fut assez vaillant pour contenir ma dérive. C'est en me débattant contre l'indomptable férocité de l’immensité que je tente de survivre à présent. Seule, poussant de grands gestes dans l’espoir d'agripper la vie. Et pourtant, je ne réussi qu'à empoigner une corde rompue, pitoyablement arrachée à sa jumelle de toujours. Je la voyais comme une onéreuse parure, aujourd’hui c’est une chaîne massive et je coule avec elle. Aucun hurlement ne parvient à rompre ce silence au milieu du tumulte.
NC Sep 2020
Si déchirant de ne pas t’écrire
Quand mon corps cri au soupir
Si infaisable de t’oublier
Quand mon monde t’es voué
Si impensable de ne pas te voir
Quand tu incarnes chaque bonne histoire
Si accablant de me languir
Quand tu représentes mon désir
Si maladivement cruel
Quand on chérit sans dentelle
Si désolant de te quitter
Quand mon seul voeu est d’aimer

C’est un combat de tous les instants
Car mon amour est un état incessant

— The End —