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Mes colonnes sont alignées
Au portique du feuilleton ;
Elles supportent résignées
Du journal le pesant fronton.

Jusqu'à lundi je suis mon maître.
Au diable chefs-d'oeuvre mort-nés !
Pour huit jours je puis me permettre
De vous fermer la porte au nez.

Les ficelles des mélodrames
N'ont plus le droit de se glisser
Parmi les fils soyeux des trames
Que mon caprice aime à tisser.

Voix de l'âme et de la nature,
J'écouterai vos purs sanglots,
Sans que les couplets de facture
M'étourdissent de leurs grelots.

Et portant, dans mon verre à côtes,
La santé du temps disparu,
Avec mes vieux rêves pour hôtes
Je boirai le vin de mon cru :

Le vin de ma propre pensée,
Vierge de toute autre liqueur,
Et que, par la vie écrasée,
Répand la grappe de mon coeur !
Sharifah Husna Aug 2016
You've told yourself before,
How the present you're dwelling in doesn't fit in quite right,
How time travelling would be an ideal concept,
Just so you could tilt your head a little bit higher,
It still doesn't make any sense though,
The past won't chase after me,
They'll lay themselves to rest eventually,
It is an interesting story.

Here's an interesting story,
Jealousy doesn't equal to being caring,
It's more like a venom,
You see,
Being dangerous doesn't make you more captivating,
It makes you more intimidating.

Here's the thing,
I know a girl who swallowed her own venom,
I'm not entirely sure if it's a good thing,
You know the void,
And how dark it is?
Her eyes are like that.
I cannot be more precise,
Because there's nothing poetic about the void,
But her eyes speak the language of a poet,
They begged for a quiet gesture.

But you see,
Poets are weird,
They like to say things indirectly,
Like when she begged for a quite gesture,
It's more like a,
"Don't talk to me.",
Kind of thing,
With a hint of,
"But please, I seek for your attention.",
Kind of thing.
It's complicated,
So don't talk to her,
Just lift your hand in mid air,
Must hold back the urge to speak.

You see,
The only time they tried to seal the bonding,
Was when they said "hi",
Her voice still lingers,
Trust me,
She doesn't sound like lullabies,
Or an angel,
She sounds like,
3 insomniac nights,
A packet of cigarette,
And an hourly coffee,
Her lips curled,
Clearly unhappy.

She doesn't drink coffee,
Nor does she look interested,
In suffocating her already contaminated lungs,
With another killing things,
The luggages underneath her eyes,
Are stating a fact that the world,
Is deadly and tiring enough,
That she doesn't have the audacity,
To risk the last most lively concept of hers.

You see,
When the venom kicks in,
Your body is paralysed,
By hearing the voice of a person,
You once loved,
Your mind kept repeating wishes,
Longing your heart to speak out,
But the painful lump in your throat,
Guarding your voice,
Is just another wild dandelions,
Left unblown.

When I mentioned,
"How the past won't chase after me,
And how they'll lay themselves to rest eventually",
I was indicating on how the past buried themselves,
At the back of your head,
Sometimes I think of them like time bombs,
Those that don't go off,
Recently I felt like they exploded,
They sounded very similar to fireworks in broad daylight,
I know that you're glad they went off,
The echo of it blocking the sound of reality,
That you once were too scared to face.

You see,
Sometimes admitting the truth like,
"I miss you",
Or,
" I took the candy from your bag when you're not looking",
Can be a lot harder that you expected,
When you're the one isolating yourself,
From the person who deserves your honesty.

So when I tell you,
That owning a second chance is a miracle,
I want you to use it wisely,
Like tilting your head a little bit higher,
Vomiting out the stars from the depth of your eyes,
Deliberately stretching your lips to your cheeks,
Swallowing wild dandelions,
And scurrying to a new soul,
Dressing up as your old, worn out self.

It's fun,
You should try it sometimes.
Here's for the long lasting bond between good friends who have been to hell and back and also to a fresh reawaken.
Enfants ! - Oh ! revenez ! Tout à l'heure, imprudent,
Je vous ai de ma chambre exilés en grondant,
Rauque et tout hérissé de paroles moroses.
Et qu'aviez-vous donc fait, bandits aux lèvres roses ?
Quel crime ? quel exploit ? quel forfait insensé ?
Quel vase du Japon en mille éclats brisé ?
Quel vieux portrait crevé ? Quel beau missel gothique
Enrichi par vos mains d'un dessin fantastique ?
Non, rien de tout cela. Vous aviez seulement,
Ce matin, restés seuls dans ma chambre un moment,
Pris, parmi ces papiers que mon esprit colore,
Quelques vers, groupe informe, embryons près d'éclore,
Puis vous les aviez mis, prompts à vous accorder,
Dans le feu, pour jouer, pour voir, pour regarder
Dans une cendre noire errer des étincelles,
Comme brillent sur l'eau de nocturnes nacelles,
Ou comme, de fenêtre en fenêtre, on peut voir
Des lumières courir dans les maisons le soir.

Voilà tout. Vous jouiez et vous croyiez bien faire.

Belle perte, en effet ! beau sujet de colère !
Une strophe, mal née au doux bruit de vos jeux,
Qui remuait les mots d'un vol trop orageux !
Une ode qui chargeait d'une rime gonflée
Sa stance paresseuse en marchant essoufflée !
De lourds alexandrins l'un sur l'autre enjambant
Comme des écoliers qui sortent de leur banc !
Un autre eût dit : - Merci ! Vous ôtez une proie
Au feuilleton méchant qui bondissait de joie
Et d'avance poussait des rires infernaux
Dans l'antre qu'il se creuse au bas des grands journaux.
Moi, je vous ai grondés. Tort grave et ridicule !

Nains charmants que n'eût pas voulu fâcher Hercule,
Moi, je vous ai fait peur. J'ai, rêveur triste et dur,
Reculé brusquement ma chaise jusqu'au mur,
Et, vous jetant ces noms dont l'envieux vous nomme,
J'ai dit : - Allez-vous-en ! laissez-moi seul ! - Pauvre homme !
Seul ! le beau résultat ! le beau triomphe ! seul !
Comme on oublie un mort roulé dans son linceul,
Vous m'avez laissé là, l'oeil fixé sur ma porte,
Hautain, grave et puni. - Mais vous, que vous importe !
Vous avez retrouvé dehors la liberté,
Le grand air, le beau parc, le gazon souhaité,
L'eau courante où l'on jette une herbe à l'aventure,
Le ciel bleu, le printemps, la sereine nature,
Ce livre des oiseaux et des bohémiens,
Ce poème de Dieu qui vaut mieux que les miens,
Où l'enfant peut cueillir la fleur, strophe vivante,
Sans qu'une grosse voix tout à coup l'épouvante !
Moi, je suis resté seul, toute joie ayant fui,
Seul avec ce pédant qu'on appelle l'ennui.
Car, depuis le matin assis dans l'antichambre,
Ce docteur, né dans Londres, un dimanche, en décembre,
Qui ne vous aime pas, ô mes pauvres petits,
Attendait pour entrer que vous fussiez sortis.
Dans l'angle où vous jouiez il est là qui soupire,
Et je le vois bâiller, moi qui vous voyais rire !

Que faire ? lire un livre ? oh non ! - dicter des vers ?
A quoi bon ? - Emaux bleus ou blancs, céladons verts,
Sphère qui fait tourner tout le ciel sur son axe,
Les beaux insectes peints sur mes tasses de Saxe,
Tout m'ennuie, et je pense à vous. En vérité,
Vous partis, j'ai perdu le soleil, la gaîté,
Le bruit joyeux qui fait qu'on rêve, le délire
De voir le tout petit s'aider du doigt pour lire,
Les fronts pleins de candeur qui disent toujours oui,
L'éclat de rire franc, sincère, épanoui,
Qui met subitement des perles sur les lèvres,
Les beaux grands yeux naïfs admirant mon vieux Sèvres,
La curiosité qui cherche à tout savoir,
Et les coudes qu'on pousse en disant : Viens donc voir !

Oh ! certes, les esprits, les sylphes et les fées
Que le vent dans ma chambre apporte par bouffées,
Les gnomes accroupis là-haut, près du plafond,
Dans les angles obscurs que mes vieux livres font,
Les lutins familiers, nains à la longue échine,
Qui parlent dans les coins à mes vases de Chine.
Tout l'invisible essaim de ces démons joyeux
A dû rire aux éclats, quand là, devant leurs yeux,
Ils vous ont vus saisir dans la boîte aux ébauches
Ces hexamètres nus, boiteux, difformes, gauches,
Les traîner au grand jour, pauvres hiboux fâchés,
Et puis, battant des mains, autour du feu penchés,
De tous ces corps hideux soudain tirant une âme,
Avec ces vers si laids faire une belle flamme !

Espiègles radieux que j'ai fait envoler,
Oh ! revenez ici chanter, danser, parler,
Tantôt, groupe folâtre, ouvrir un gros volume,
Tantôt courir, pousser mon bras qui tient ma plume,
Et faire dans le vers que je viens retoucher
Saillir soudain un angle aigu comme un clocher
Qui perce tout à coup un horizon de plaines.
Mon âme se réchauffe à vos douces haleines.
Revenez près de moi, souriant de plaisir,
Bruire et gazouiller, et sans peur obscurcir
Le vieux livre où je lis de vos ombres penchées,
Folles têtes d'enfants ! gaîtés effarouchées !

J'en conviens, j'avais tort, et vous aviez raison.
Mais qui n'a quelquefois grondé hors de saison ?
Il faut être indulgent. Nous avons nos misères.
Les petits pour les grands ont tort d'être sévères.
Enfants ! chaque matin, votre âme avec amour
S'ouvre à la joie ainsi que la fenêtre au jour.
Beau miracle, vraiment, que l'enfant, *** sans cesse,
Ayant tout le bonheur, ait toute la sagesse !
Le destin vous caresse en vos commencements.
Vous n'avez qu'à jouer et vous êtes charmants.
Mais nous, nous qui pensons, nous qui vivons, nous sommes
Hargneux, tristes, mauvais, ô mes chers petits hommes !
On a ses jours d'humeur, de déraison, d'ennui.
Il pleuvait ce matin. Il fait froid aujourd'hui.
Un nuage mal fait dans le ciel tout à l'heure
A passé. Que nous veut cette cloche qui pleure ?
Puis on a dans le coeur quelque remords. Voilà
Ce qui nous rend méchants. Vous saurez tout cela,
Quand l'âge à votre tour ternira vos visages,
Quand vous serez plus grands, c'est-à-dire moins sages.

J'ai donc eu tort. C'est dit. Mais c'est assez punir,
Mais il faut pardonner, mais il faut revenir.
Voyons, faisons la paix, je vous prie à mains jointes.
Tenez, crayons, papiers, mon vieux compas sans pointes,
Mes laques et mes grès, qu'une vitre défend,
Tous ces hochets de l'homme enviés par l'enfant,
Mes gros chinois ventrus faits comme des concombres,
Mon vieux tableau trouvé sous d'antiques décombres,
Je vous livrerai tout, vous toucherez à tout !
Vous pourrez sur ma table être assis ou debout,
Et chanter, et traîner, sans que je me récrie,
Mon grand fauteuil de chêne et de tapisserie,
Et sur mon banc sculpté jeter tous à la fois
Vos jouets anguleux qui déchirent le bois !
Je vous laisserai même, et gaîment, et sans crainte,
Ô prodige ! en vos mains tenir ma bible peinte,
Que vous n'avez touchée encor qu'avec terreur,
Où l'on voit Dieu le père en habit d'empereur !

Et puis, brûlez les vers dont ma table est semée,
Si vous tenez à voir ce qu'ils font de fumée !
Brûlez ou déchirez ! - Je serais moins clément
Si c'était chez Méry, le poète charmant,
Que Marseille la grecque, heureuse et noble ville,
Blonde fille d'Homère, a fait fils de Virgile.
Je vous dirais : - " Enfants, ne touchez que des yeux
A ces vers qui demain s'envoleront aux cieux.
Ces papiers, c'est le nid, retraite caressée,
Où du poète ailé rampe encor la pensée.
Oh ! n'en approchez pas ! car les vers nouveau-nés,
Au manuscrit natal encore emprisonnés,
Souffrent entre vos mains innocemment cruelles.
Vous leur blessez le pied, vous leur froissez les ailes ;
Et, sans vous en douter, vous leur faites ces maux
Que les petits enfants font aux petits oiseaux. "

Mais qu'importe les miens ! - Toute ma poésie,
C'est vous, et mon esprit suit votre fantaisie.
Vous êtes les reflets et les rayonnements
Dont j'éclaire mon vers si sombre par moments.
Enfants, vous dont la vie est faite d'espérance,
Enfants, vous dont la joie est faite d'ignorance,
Vous n'avez pas souffert et vous ne savez pas,
Quand la pensée en nous a marché pas à pas,
Sur le poète morne et fatigué d'écrire
Quelle douce chaleur répand votre sourire !
Combien il a besoin, quand sa tête se rompt,
De la sérénité qui luit sur votre front ;
Et quel enchantement l'enivre et le fascine,
Quand le charmant hasard de quelque cour voisine,
Où vous vous ébattez sous un arbre penchant,
Mêle vos joyeux cris à son douloureux chant !

Revenez donc, hélas ! revenez dans mon ombre,
Si vous ne voulez pas que je sois triste et sombre,
Pareil, dans l'abandon où vous m'avez laissé,
Au pêcheur d'Etretat, d'un long hiver lassé,
Qui médite appuyé sur son coude, et s'ennuie
De voir à sa fenêtre un ciel rayé de pluie.
Oui, mon vers croit pouvoir, sans se mésallier,
Prendre à la prose un peu de son air familier.
André, c'est vrai, je ris quelquefois sur la lyre.
Voici pourquoi, tout jeune encor, tâchant de lire
Dans le livre effrayant des forêts et des eaux,
J'habitais un parc sombre où jasaient des oiseaux,
Où des pleurs souriaient dans l'oeil bleu des pervenches ;
Un jour que je songeais seul au milieu des branches,
Unbouvreuil qui faisait le feuilleton du bois
M'a dit : Il faut marcher à terre quelquefois.
La nature est un peu moqueuse autour des hommes ;
O poète, tes chants, ou ce qu'ainsi tu nommes,
Lui ressembleraient mieux si tu les dégonflais.
Les bois ont des soupirs, mais ils ont des sifflets.
L'azur luit, quand parfois la gaîté le déchire ;
L'Olympe reste grand en éclatant de rire ;
Ne crois pas que l'esprit du poëte descend
Lorsque entre deux grands vers un mot passe en dansant.
Ce n'est pas un pleureur que le vent en démence ;
Le flot profond n'est pas un chanteur de romance ;
Et la nature, au fond des siècles et des nuits,
Accouplant Rabelais à Dante plein d'ennuis,
Et l'Ugolin sinistre au Grandgousier difforme,
Près de l'immense deuil montre le rire énorme.

Les Roches, juillet 1830.
Puisque ce monde existe, il sied qu'on le tolère.
Sachons considérer les êtres sans colère.
Cet homme est le bourgeois du siècle où nous vivons.
Autrefois il vendait des suifs et des savons,
Maintenant il est riche ; il a prés, bois, vignobles.
Il déteste le peuple, il n'aime pas les nobles ;
Étant fils d'un portier, il trouve en ce temps-ci
Inutile qu'on soit fils des Montmorency.
Il est sévère. Il est vertueux. Il est membre,
Ayant de bons tapis sous les pieds en décembre,
Du grand parti de l'ordre et des honnêtes gens.
Il hait les amoureux et les intelligents ;
Il fait un peu l'aumône, il fait un peu l'usure ;
Il dit du progrès saint, de la liberté pure,
Du droit des nations : je ne veux pas de ça !
Il a ce gros bon sens du cher Sancho Pança
Qui laisserait mourir à l'hôpital Cervantes ;
Il admire Boileau, caresse les servantes,
Et crie, après avoir chiffonné Jeanneton,
À l'immoralité du roman feuilleton.
À la messe où sans faute il va chaque dimanche,
Il porte sous son bras Jésus doré sur tranche,
La crèche, le calvaire et le Dies illa.
- Non qu'entre nous je croie à ces bêtises-là,
Nous dit-il. - S'il y va, cela tient à sa gloire,
C'est que le peuple vil croira, le voyant croire,
C'est qu'il faut abrutir ces gens, car ils ont faim,
C'est qu'un bon Dieu quelconque est nécessaire enfin.
Là-dessus, rangez-vous, le suisse frappe, il entre,
Il étale au banc d'œuvre un majestueux ventre,
Fier de sentir qu'il prend, dans sa dévotion,
Le peuple en laisse et Dieu sous sa protection.
Julian Aug 26
Panegoism is a pandation of mensuration in supersolid pettifoggery against the wafting wasms of wanion that is a wone for wonted license expedited by parabolasters of chabouks nakedized by nasute argali in foutered conflict between bobbinets and sarsenets in catabasis from bushwa pertinacity breamed by brayers and affrayers trying to squelch brisures from conquering stagnicolous stonks by advesperating bangtail luxuries at the forefront of stradometrical neglect because of sphacelated hauteur the sprachgefuhl of elegiac poltroons of irreflex ironless drab docimasy of orectic oppidan maximalism so unseemly it almost seems a chamade of  onyxis eyeservice berating the camarilla of habanera. The hamerkop of proper stagnation mixed with aptitude is a porlocking handsel of immoralism abaft in aberdevine abessive insouciant conformity apay to sideline internecine domestic appui clarigated against desipient deontology by feasting on odontalgia mainlining decuman deadwood as gourmet especially in cloisters of davenport besieged by the frottage incurred by adevism reformulated as rimose varietism of varsal protervity and procacious profligacy immune to vastation because of vehicles of vecordy gouging vectigals in deckled consolation of gerrymandered but gentrified newels marooning the balmorality of subterfuge to enamor killcows often pilloried as sakis into mesalliance with exlex compromise.

The meldometers that tax megacerine meconology juddering against sudd trying to elude juggins judogi of barmcloth catacoustics of cacotopia immiserated ingravescent by the caudles to steeve them sink into cecutiency reminded often of negannepaut only to provoke their obsolescence of stark cisvestism transpontine in beblubbered sentimentalism peenging about bandelets dashed by dashpots of ragmatical rhinocerial romage deprived of tropoclastic nurturance in the rookery of their heyday wases of wapentake cajoling the podlecs pysmatic in incorrigible oppression of rudenture and mugience must the pansophy tread lightly against the polyacoustic repine of scelestious wrackful recklings of gossypine boskets agape with agathism pilgarlicks abide by in jamdanis castrametated as ghastly politicide. The pother of indigence is a pushful brehon encircling quozzes of quilombo reasted in rectiserial substratose taeniacide of anonymity the tabacosis of gorgonized gonophs defiling the umjunction of sumpters of veilleuse vicariant virgations of vis viewed from twiring turtlebacks of skalding vorticism of gerenuk wunderkinds plucked from plucky endeavor itself to glissade over winterkill as gonfaloniers paroxytone as monumental pergola woolding as willowish williwaws seeking to eradicate widgeons as domett by the cloture of peremptory eloquence corraded from the codswallop of the walloping machinations of poverty straining umbracious servitude to rampicks of optimism rather than the coemption of community valor in collimation with timocracy.

The cofferdam between authoritative pragmatica of clepsydra and cirripeds of pataphysics is an antagonism of form over substance wroth with azoth because of the abb of compital nevosity of bronchos caused by scop amounted among nerkas of neutrosophy recoiling in sastrugas of obfuscation beholden to sarangousty transmuted into stulm implodent to incumbent procedure imbricates idiorhythmic if saccadic balanisms of the nutation of the noosphere around circumducted anomalies of umbels qualified by therbligs of subliminal and sublime synartesis of angstroms and the plasma of sedigitated syllepsis sublated by miniaturized coemption of variegated abscissa that provokes the steepest acclivity that any single aerobe known to formative wunderkinds pales to the aftershaft of that bonanza. In such severe akinesia of alaudine alexia only deciphered by algetic subroutines insubordinating plunged wagtail derrick into the dentagra of scientific odonterism can we field the apodysophilia, beyond the specious inveterate and stubborn aphthong of science, aplanatic and apodictic feuilleton of scollardical degus that become integral dedans that cavort like duramen in the famine and volcanic galvanization in the fallow ratheripe certainty designed by stradometrical stridulation to mirror the strahl and diminish the strake by bobstaying probands by the bezique bellecism of contrahent stupidity. In the frogmarch of bonanza contecking cachalots privy to kistvaens of cameralism and the moulin camouflet the spavined of penelopized and gorgonized paludism of mehari indagating because of stulm that the mazzebah is not the mazopathia of laystall kisswonks too scurfy in lineolated limpkins to propel the lugsails at the apogees of achievement because zabaglione is too inscrutable even to zollvereins that gouge a fortune among their zoris of eavesdropped boodle among the hawsehole of highbinder intrigue holderbats thole against hopsacks because of visibilia and vetanda delimiting the ambit of adynamia wed with barkentine prestige into an easement oxtered with overlock jacquards bewildering even the janitrices to the ulterior prerogatives enjoyed by ipecac while the ireless abessive unguligrade subitaneous folly of wagtail tregetours enthused on yawny rather than ****** youthquakes.

The stylogalmaic affairs of baragouins among lavolta and stanjant stunsail with dignified stritches capsizing swarf with baldric portfires of powellisation garnering guerdons basculing because of bathmism scranching inept trichosis with walleteer agiotage because of dommerer yare proairesis to yerk kymatology from fickle and feckless to intrepid and pervicacious that maybe draconian subterfuge anserine to probang by praxeology transfixing prisoptometry might uranoplasty in metapolitics abetted by metaplasmic tourbillons tow themselves slumberous while the alacrity of lavolta tricotees with popjoys of porcellanous tephra milked vaccimulgent in impudence volplaning vivat because of contrahent silence obeyed categorically by the dormant virgation of shambles viscid in hyperbulia. When marauding among holocryptic fringes extramundane in histrinkage harried by the haecceity of brutish bowdlerization, the gnomic futtocks of the foison griffonage dissembles eupraxia in eutrapely that rantipole ecphonesis becomes an ecdysiast of the aurochs of advesperation dwaling in soteriology because the dulia of adiaphoron is a volable virtu  foothot with katzenjammer becomes the mappemonde of macrobian cosmopolitanism flushed by hues of oligochrome by visagists insuperable in vallidom that the vagarian curiosity accidentally twires the tympany dismantling mackintoshes arrayed by the mainpernor of strict docimasy tethered to squamation such that mantissas discounting echards because of chevet becomes a fashionable marivaudage yarnwindling birls of woold despite bickerns wallfish owleries cajole into wangs of slangwhang in the washlands of vicissitude wedelning chrematistic cordwainers with the windlass of their stang recapitulated in ostentation. Couveuses balize and beaze because of bandore, the sennet of sidelighted garbology upstaged by singulted skives ictuating the idempotent because of odedible vulpecular boyaus of oblectation done because of streamlined encaustic quatenus browbeating the quatsch of teenage familisteries flagitating the suboptimal Sarvodaya even with derelict flautino cadged by laevoduction chiliombs whipstaffing impressionable gerenuks sympatric by proxemics to inhospitable wen rimose with jollyboat katabothrons of catacoustics that the websters tower over the phallocrats because of wasserman popinjay panjandrum gauleiters warraying backstays of causerie clatfart amicable to jousting subternatural pickthanks of cittosis amenable to cacophony. The truer virtuosity of weasand meets a cladogenesis of champaign ambitions versus cetacean vultures chabouking the jostle of concourse among superlunary and sublunary carracks warring for cardimelech saffrons of gentrified sagination leading to idiomology easy to iambize spaniolating with nutation to govern the hyperborean capital of catalfalques simultaneous to bluepeters because of abigail bowdlerization of sophianic nidor embodied in truth.

— The End —