dans l'étirement lent des tardifs après-midis tu distilles en colonnes, poussiéreux saumon peignant de faux miroirs d'ors sous le plein bleu, devenu pâle, comme des fragments de déchirure rouler, ensemble, éloigné, au milieu de tes liaisons symmétriques, s'ouvrant changeant en ailes, dans toutes les directions, et tu déchires ma tête véritablement en deux