C'était l'esprit anéanti que je courais Vers toi, une fois de plus, comme si je volais À travers les champs de lin, je me surpassais.
J'étais poussé par une force surhumaine. J'allais jusqu'à mon but, peu m'importait la peine. Le regard rivé sur tes yeux, rien ne me freine.
Et je saute dans tes bras, je chante de joie Jusqu'à n'en plus pouvoir et nous étions si bien, Tous les deux. Mais te doutais-tu d'un tel désastre ? Parcourant mes pensées, dans l'espoir d'un refuge,
Tu oubliais tout. Ma question demeure, pourquoi ? Quell' déception, mon amour pour toi était plein. Brillant pour moi comme un soleil parmi les astres, Tu étais là pourtant personne n'en préjuge.