Dans un monde où les rêves murmurent, doucement ils appellent,
Une jeune dame rencontre un garçon, et son cœur s'envole.
Avec des rires comme musique, leurs âmes s'entrelacent,
Mais dans l'ombre, une vérité dure se place.
Il sourit avec charme, mais sa vision constrictée,
Croyant qu’aimer signifie restreindre sa liberté.
“Abandonne tes ambitions ; laisse-les mourir en silence,
La vraie place d'une femme est sous le ciel de la résidence.”
Elle écoute en silence, son cœur lourd de chaînes,
Captive du conflit des douces peines.
Ses rêves, comme des fleurs, s'étendent vers la lumière,
Tandis que sa vision d'amour assombrit son air.
“Pourquoi ne puis-je être les deux ?” brave-t-elle demande,
“Une partenaire, une rêveuse, avec des passions qui flambent ?”
Pourtant, il se détourne, son cœur froid comme la pierre,
Dans un royaume d'illusions, elle se sent si seule et amère.
À chaque battement, un feu commence à s'allumer,
Une lueur de courage dans l'obscurité de la nuit.
Elle voit sa propre valeur, non définie par son regard,
Mais par les ambitions qui la font éclore.
Ne plus être un moineau, elle aspire à la liberté,
Embrassant les échos de ce qu'elle peut être.
Dans la tapisserie des rêves, elle tisse un fil audacieux,
Trouvant la force dans sa voix, plus jamais malheureuse.
Car l'amour devrait élever, non étouffer la flamme,
Elle suit son chemin, refusant la honte.
Une jeune dame autrefois liée danse maintenant dans la lumière,
Une guerrière des rêves, fière dans sa lutte.
Dans le silence de la nuit, elle apprend à revendiquer,
Les morceaux d'elle-même qu'il voulait dominer.
Car au fond de son cœur, une vérité elle découvrira—
Un amour qui exige le silence est un amour cruel.