Sous le soleil qui transperce ma peau
ridée et usée
Il m'est pourtant, doux et indulgent.
Quant aux sirènes, celles qui,
derrière les vagues m'appellent
Je désire leur céder mon corps
le passage
et le reste
Mais le vent frais de Tainan le
retient.
Mais le vent frais de Tainan le retient.
le 28 janvier 2023
Poème écrit lors de mon deuxième Voyage à Taïwan, sur une plage à Tainan