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persefona Mar 2015
Mermerna prostorija.
U njoj stojim u redu da platim clanarinu za biblioteku.
Ispred mene i iza mene nalaze se ljudi, bezlicni, u crnim odevnim kombinacijama. Reklo bi se dosli su na sopstvenu sahranu.

Dolazim na red- promena smene nastupa - naglim okretom ka salteru susrecem se sa gorilom osrednjeg rasta crne boje.
Ona se uplasila od mene! Uznemirena napusta radno mesto- cak uvredjena! zbog cega ne znam.
Koleginice je mole da vrati se na salter- a ja do tada samo znam kako sa psom- pa probam nesto od toga - shvatam da gorila sazvakace me.

Gorila se smirila nekako.
Ja sela da ucim.
Le Meurtre, d'une main violente, brise les liens
Les plus sacrés,
La Mort vient enlever le jeune homme florissant,
Et le Malheur s'approche comme un ennemi rusé
Au milieu des jours de fête.
Schiller.

I.

Modérons les transports d'une ivresse insensée ;
Le passage est bien court de la joie aux douleurs ;
La mort aime à poser sa main lourde et glacée
Sur des fronts couronnés de fleurs.
Demain, souillés de cendre, humbles, courbant nos têtes,
Le vain souvenir de nos fêtes
Sera pour nous presque un remords ;
Nos jeux seront suivis des pompes sépulcrales ;
Car chez nous, malheureux ! l'hymne des saturnales
Sert de prélude au chant des morts.

II.

Fuis les banquets, fais trêve à ton joyeux délire,
Paris, triste cité ! détourne tes regards
Vers le cirque où l'on voit aux accords de la lyre
S'unir les prestiges des arts.
Chœurs, interrompez-vous ; cessez, danses légères ;
Qu'on change en torches funéraires
Ces feux purs, ces brillants flambeaux ; -
Dans cette enceinte, auprès d'une couche sanglante,
J'entends un prêtre saint dont la voix chancelante
Dit la prière des tombeaux.

Sous ces lambris, frappés des éclats de la joie,
Près d'un lit où soupire un mourant étendu,
D'une famille auguste, au désespoir en proie,
Je vois le cortège éperdu.
C'est un père à genoux, c'est un frère en alarmes,
Une sœur qui n'a point de larmes
Pour calmer ses sombres douleurs ;
Car ses affreux revers ont, dès son plus jeune âge,
Dans ses yeux, enflammés d'un si mâle courage,
Tari la source de ses pleurs.

Sur l'échafaud, aux cris d'un sénat sanguinaire,
Sa mère est morte en reine et son père en héros ;
Elle a vu dans les fers périr son jeune frère,
Et n'a pu trouver des bourreaux.
Et, quand des rois ligués la main brisa ses chaînes,
Longtemps, sur des rives lointaines,
Elle a fui nos bords désolés ;
Elle a revu la France, après tant de misères,
Pour apprendre, en rentrant au palais de ses pères,
Que ses maux n'étaient pas comblés.

Plus ****, c'est une épouse... Oh ! qui peindra ses craintes,
Sa force, ses doux soins, son amour assidu ?
Hélas ! et qui dira ses lamentables plaintes,
Quand tout espoir sera perdu ?
Quels étaient nos transports, ô vierge de Sicile,
Quand naguère à ta main docile
Berry joignit sa noble main !
Devais-tu donc, princesse, en touchant ce rivage,
Voir sitôt succéder le crêpe du veuvage
Au chaste voile de l'***** ?

Berry, quand nous vantions ta paisible conquête,
Nos chants ont réveillé le dragon endormi ;
L'Anarchie en grondant a relevé sa tête,
Et l'enfer même en a frémi.
Elle a rugi ; soudain, du milieu des ténèbres,
Clément poussa des cris funèbres,
Ravaillac agita ses fers ;
Et le monstre, étendant ses deux ailes livides,
Aux applaudissements des ombres régicides,
S'envola du fond des enfers.

Le démon, vers nos bords tournant son vol funeste,
Voulut, brisant ces lys qu'il flétrit tant de fois,
Epuiser d'un seul coup le déplorable reste
D'un sang trop fertile en bons rois.
Longtemps le sbire obscur qu'il arma pour son crime,
Rêveur, autour de la victime
Promena ses affreux loisirs ;
Enfin le ciel permet que son vœu s'accomplisse ;
Pleurons tous, car le meurtre a choisi pour complice
Le tumulte de nos plaisirs.

Le fer brille... un cri part : guerriers, volez aux armes !
C'en est fait ; la duchesse accourt en pâlissant ;
Son bras soutient Berry, qu'elle arrose de larmes,
Et qui l'inonde de son sang.
Dressez un lit funèbre : est-il quelque espérance ?...
Hélas ! un lugubre silence
A condamné son triste époux.
Assistez-le, madame, en ce moment horrible ;
Les soins cruels de l'art le rendront plus terrible,
Les vôtres le rendront plus doux.

Monarque en cheveux blancs, hâte-toi, le temps presse ;
Un Bourbon va rentrer au sein de ses aïeux ;
Viens, accours vers ce fils, l'espoir de ta vieillesse ;
Car ta main doit fermer ses yeux !
Il a béni sa fille, à son amour ravie ;
Puis, des vanités de sa vie
Il proclame un noble abandon ;
Vivant, il pardonna ses maux à la patrie ;
Et son dernier soupir, digne du Dieu qu'il prie,
Est encore un cri de pardon.

Mort sublime ! ô regrets ! vois sa grande âme et pleure,
Porte au ciel tes clameurs, ô peuple désolé !
Tu l'as trop peu connu ; c'est à sa dernière heure
Que le héros s'est révélé.
Pour consoler la veuve, apportez l'orpheline ;
Donnez sa fille à Caroline,
La nature encore a ses droits.
Mais, quand périt l'espoir d'une tige féconde,
Qui pourra consoler, dans se terreur profonde,
La France, veuve de ses rois ?

À l'horrible récit, quels cris expiatoires
Vont poussez nos guerriers, fameux par leur valeur !
L'Europe, qu'ébranlait le bruit de leurs victoires,
Va retentir de leur douleur.
Mais toi, que diras-tu, chère et noble Vendée ?
Si longtemps de sang inondée,
Tes regrets seront superflus ;
Et tu seras semblable à la mère accablée,
Qui s'assied sur sa couche et pleure inconsolée,
Parce que son enfant n'est plus !

Bientôt vers Saint-Denis, désertant nos murailles,
Au bruit sourd des clairons, peuple, prêtres, soldats,
Nous suivrons à pas lents le char des funérailles,
Entouré des chars des combats.
Hélas ! jadis souillé par des mains téméraires,
Saint-Denis, où dormaient ses pères,
A vu déjà bien des forfaits ;
Du moins, puisse, à l'abri des complots parricides,
Sous ces murs profanés, parmi ces tombes vides,
Sa cendre reposer en paix !

III.

D'Enghien s'étonnera, dans les célestes sphères,
De voir sitôt l'ami, cher à ses jeunes ans,
À qui le vieux Condé, prêt à quitter nos terres,
Léguait ses devoirs bienfaisants.
À l'aspect de Berry, leur dernière espérance,
Des rois que révère la France
Les ombres frémiront d'effroi ;
Deux héros gémiront sur leurs races éteintes,
Et le vainqueur d'Ivry viendra mêler ses plaintes
Aux pleurs du vainqueur de Rocroy.

Ainsi, Bourbon, au bruit du forfait sanguinaires,
On te vit vers d'Artois accourir désolé ;
Car tu savais les maux que laisse au cœur d'un père
Un fils avant l'âge immolé.
Mais bientôt, chancelant dans ta marche incertaine,
L'affreux souvenir de Vincennes
Vint s'offrir à tes sens glacés ;
Tu pâlis ; et d'Artois, dans la douleur commune,
Sembla presque oublier sa récente infortune,
Pour plaindre tes revers passés.

Et toi, veuve éplorée, au milieu de l'orage
Attends des jours plus doux, espère un sort meilleur ;
Prends ta sœur pour modèle, et puisse ton courage
Etre aussi grand que ton malheur !
Tu porteras comme elle une urne funéraire ;
Comme elle, au sein du sanctuaire,
Tu gémiras sur un cercueil ;
L'hydre des factions, qui, par des morts célèbres,
A marqué pour ta sœur tant d'époques funèbres,
Te fait aussi ton jour de deuil !

IV.

Pourtant, ô frêle appui de la tige royale,
Si Dieu par ton secours signale son pouvoir,
Tu peux sauver la France, et de l'hydre infernale
Tromper encor l'affreux espoir.
Ainsi, quand le Serpent, auteur de tous les crimes,
Vouait d'avance aux noirs abîmes
L'homme que son forfait perdit,
Le Seigneur abaissa sa farouche arrogance ;
Une femme apparut, qui, faible et sans défense,
Brisa du pied son front maudit.

Février 1820.
Quand la belle Vénus, sortant du sein des mers,
Promena ses regards sur la plaine profonde,
Elle se crut d'abord seule dans l'univers ;
Mais près d'elle aussitôt l'amour naquit de l'onde.
Vénus lui fit un signe, il embrassa Vénus ;
Et, se reconnaissant sans s'être jamais vus,
Tous deux sur un dauphin voguèrent vers la plage.
Comme ils approchaient du rivage,
L'amour, qu'elle portait, s'échappe de ses bras,
Et lance plusieurs traits en criant : terre ! Terre !
Que faites-vous, mon fils ? Lui dit alors sa mère.
Maman, répondit-il, j'entre dans mes états.
Ako hoces, pocinje u nedelju, nadji na fb, valjda ima jos mesta.

mh
Kao primer uzmimo zenu koja ima potrebu da zadovolji svoje primarne potrebe, da bude srecna i zadovoljna.
I zamislimo takvu ispunjenu zenu koja se u drustvu deklarise kao "nicija" da je krenula u potragu za osobom koja bi zadovoljila njenu primarnu potrebu.
Prvo pitanje do koga dolazimo jeste, koga ona zapravo trazi?
Logicno bi bilo da ona prvo trazi one slicne sebi "nicije"ali razmotrimo i druge opcije.

Recimo da joj u oci upadne  prvo osoba koja je "necija" i da dodje do zadovoljenje potrebe. Obratimo paznju kako "nicija" zena sad nije vise u prvom planu, nego sta se desava uz prisustvo glasovnih promena gde "ne" prelazi u "sva", da, da, kako osoba "necija" samim cinom prelazi u "svacija". Neko bi rekao "jedna, manje-vise" nije to za " "svacija" za svacija je veci broj kao ono kad se do 5 kaze 3 coveka, 4 coveka, a od 5, 5 ljudi ili 5 svacijih, to je to, to je isto.

Pogledajmo sada opciju 2, zapravo kada dodje do spajanja dve "nicije" osobe, ali pogledajmo iz jednog blizeg, intimnijeg ugla. Da bi zadovoljenje bilo dovedeno do vrhunca, da podsetim opet, da ovde pricamo o srecnoj I zadovoljnoj zeni,  neophodno je da obe nicije osobe, drugu osobu dozive kao svoju teritoriju, kao deo sebe, ne bi li se prepustile I uzele sve ono sto im treba, sve ono sto ih dovodi do vrhunca. Vec vidim da su vam jasne I ovde glasovne promene I da “nicija zena” mora da u ovakvim trenucima postane “necija”

Razmotrimo sad I situaciju 3 da “nicija zena”  trazi zadovoljenje od osobe koje je “svacija” , Na prvu loptu reklo bi se da je ovde u pitanju neko savrsenstvo prisutno, gde “nicija zena” nije ljubomorna sto svaciji imaju I druge, ne zavidi im, nego bezuslovno voli I velika je podrska svima na tom putu slobode pa I samoj sebi.

Ali nemojmo se zavaravati  to je samo za posebne , recimo Isus Hrist, on I ako nije vise ziv I dalje je svaciji, pruza ljubav svima,  a I dovodi mase do vrhunca, ima ono desavanje kad svake godine ulazi svestenik u njegov grob, zatvore ga, pritom on nema  nista cime bi upalio svecu, nego desi se cudo I sveca se sama upali sama I kad svestenik izadje svi navale na njega ne bi li dobili plamen, pitam se sta rade sa svecama kada se plamen ugasi?

Zakljucak iz ovog bi bio da “nicija zena“ moze postojati jedino kao nezadovoljna, nesrecna zena, ona kojoj vise nisu bitne njene potrebe, ona koja ne dopusta sebi da uzme sta joj treba, ona koja odustaje od sebe, ona kojoj je tesko da poveruje da ipak moze biti necija I srecna, i da je to ok,  I da zbog toga ne mora da postane debela i umre pre vremena.

mh 2017
Nakon vremena
Nemog razgovora
Osećaja promena
Uočenih pravila

Za trenutak
Ulazi
Tu je.

Lepotom opisana
Estetikom iskrojena
Od pogleda zaštićena
Pričom inspirisana

I još štošta
Prolazi
Tu je.

Izmedju stajanja i kretanja
U kadru tramvajskog prozora
Jos jedan od onih
Nevidljivih susreta

Niz nastavlja
Odlazi
Tu je.

Uvek kada sam na pola puta
I dalje ne shvatam...


*mh, 21. april 2016

— The End —