Il s'est libéré des chaînes de son entourage et de l'influence des technologies nocives
Il a opté pour les montagnes élevées et le manque d'oxygène pour respirer plus
Il a quitté les grandes villes bruyantes qui lui apparaissaient telles des vagues qui déferlent sans contrôle, destructives, ravageant tout sur leur passage
Il a marché, des kilomètres sans s'arrêter pour y trouver l'ultime liberté : la solitude
Il a compris les mensonges que ses semblables se murmurent le matin au réveil
Il a gagné, sa place dans la société, faite de sons silencieux et sa maîtresse : la nature
Il a choisi la sortie de secour qui est sous nos yeux : oui, la vie peut être saisie, mais pour cela
Faut-il encore renoncer à la sédentarité et aux relations humaines faussement satisfaisantes