je ne veux rien de plus qu’une atmosphère pure le vignoble en rase campagne des cigares venus d’ailleurs de la musique et son sourire
ces pensées qui sont miennes et qui du moins m’échappent la réminiscence d’une époque dont je n’ai qu’entendu parler des tables faites de bois et une femme aux cheveux resplendissants un désir qui émerge rien qu’en un unique regard
le temps n’est que chiffres les romances évanescentes et pourtant éternelles les terres riches et uniques et nous, temporaires.