Peau mate, corps féminin majestueux Sourire qui redonne espoir, cheveux tressés Taira ne voudra certainement pas de moi Les matins pourtant, lorsque je l'entends Chanter au réveil de sa voix qui porte Jouir fort quand elle se masturbe Je suis émoustillé, la réalité prend une forme différente Taira, dose d'endorphine similaire à l'amour
Taira, assise sur la chaise et le soleil Le soleil reflète sur sa peau colorée Son visage illuminé, elle fume raisonnablement Son bras par-dessus sa tête, elle y plie son coude Que son aisselle est exposée, Sa poitrine semble belle derrière ce top Et me regarde. Longuement. Son regard me transperce tant, que je ne peux m'empêcher de baisser les yeux Rougir, presque Mes yeux qui, rivés sur ses lèvres au goût café du Brésil, Trahiraient mes envies inavouées Je la désire. Mais Taira ne voudra certainement pas de moi
Je chercherai pourtant un contact de sa peau contre la mienne, Si j'ose l'approche.
— Et ce n'est pas que je veuille rapporter tout au Voyage de la vie, mais Taira, qui ne voudra certainement pas de moi De son énergie, me pose, me soulage, me rassure