J’ai l’impression d’avoir écrit tant de poèmes que chacun d’entre eux en perd désormais son sens pur et sa force — le mois de septembre aura été rempli d’amour et de bienveillance.
Salta, l’Argentine, début de mon vingt-septième printemps que je passe auprès de David
J’ai recommencé à écrire activement, les personnes que j’ai rencontrées sur ma route dernièrement, m’ont apporté inspiration et émotions
J’aimerais continuer de voyager, reprendre la route mais les sentiments, Ceux que je ressens pour David sont puissants J’aime maîtriser le temps mais en même temps il m’offre un pause douce
L’art m’est apparu comme réponse à un quotidien et entourage parfois ennuyant Je n’avais pas compris sa portée auparavant. Je prends des photos et écris des textes, un jour j’espère les partager Les textes et les photos
Être face à David, son sourire, son regard rassurant et sa manière de prendre soin de moi. Face à lui lors du dîner avec entre nous une bouteille de vin qui donne un aspect de quasi parfaite symétrie. J’aimerais être pris en photo avec lui, vivre comme si j’appartenais à une œuvre du septième art.
Je veux vivre intense. Mettre au placard le pragmatisme Me goinfrer de pâtisseries avec Lui, mettre au défi mes calories Dormir jusqu’à midi, comme si j’avais mille années à vivre Avoir le cœur qui bat fort même si c’est bateau à dire L’amour, l’amour, l’amour, c’est fatiguant parfois, j’aimerais écrire sur autre chose Et puis, c’est ça l’Amour ? Ou l’idée que je m’en fais ?
Comme sur ce que je ressens et que ce dont je n’évoque pas dans la poésie de mes pensées Comme sur ce que je ressens mais ose à peine partager, les réseaux sociaux sont comme une plaie ouverte.
Mais heureusement il y a Eux — ceux qui m’entourent et me font comprendre que nous pouvons être accepté et encouragé, rassuré, aimé comme idolâtré C’est ce dont la plupart des personnes réclame en larmes.