Christophe me demanda : pourquoi cette ville en particulier ?
Ma réponse, Vague.
Je n’en ai aucune idée, encore. Je n’ai trouvé aucune manière poétique de la décrire aucune émotion particulière que je pourrais exprimer dans un texte du moins, d’une manière romantique
Seulement l’Air froid humide celui qui mouille les cheveux dépose des gouttes d’eau sur nos vêtements
et le Visage des Vagues
l’écume sur mes pieds une conception de l’infini après l’horizon les tombées aléatoires de la neige et pour finir, l’impression que
l’Apocalypse est arrivée
ici, dans cette petite ville comme coincée entre mer et montagnes à l’extrémité de tout
Mais surtout, les Vagues qui ne meurent jamais comme une bulle où il ne reste que moi, seul mais accompagné de mes lourdes pensées celles que je peux finalement libérer lorsque les vents sont tranchants
Car, tu sais Christophe, cette ville me semble **** de tout Les nouvelles, les cataclysmes, les douleurs de la planète De ça, il ne reste que mes sereines balades le long de la côte
Mais surtout, les Vagues imperturbables Oui, je les écoute lorsque je m’en vais dormir Je bois leurs paroles
Écoute-les ce soir, à l’arrivée de ton sommeil.
Je les entends chanter lorsque je me réveille pendant la nuit Douces, j’ai parfois l’impression qu’elles m’appellent à travers leurs murmures D’une voix tranquille pourtant destructrice
le 17 septembre 2024 Traduit du poème « the waves » écrit en anglais le 17 janvier 2022