Pendant que je joue le mandoline, les flames brûles humblement. C’est la nuit; hélas, je ne voit pas le soleil. Mais on voit les étoiles ! On peut voir de la fumée, mais pourquoi? On gèle ! Est-ce que ça se peut que c’est toi qui fume une cigarette pure Pendant que tu admires les étoiles; pendant que tu admires la lune gibbeuse ? Et toi, mademoiselle ! Aimes-tu la musique de mon mandoline fière ? Ou peut-être vous-êtes une femme qui préfère le son d’une lyre… Ah, bon. Je’n sais pas jouer la lyre, mais peut-être t’aimes chanter ? Non, non, non ! Tu me dis. Mais pourquoi ? Vous-êtes une dame pointilleuse. Mais peut-être t’aime la poésie ? Je sais raconter des histoires ! Oui, oui, oui ! Tu me dis. Parfait, je te raconte l’histoire de ma vie. C’est une oeuvre, je le sais. Mais tu deviennes langoureuse, vous êtes endormi. Ah, je le comprends. C’est ****, ouais ? Très ****, je le sens, mais je’n bu pas ! Mais désolé, je joue encore mon mandoline, mon mandoline en acajou. Et le bois du foyer n’est presque pas là, je voit seulement de la cendre. Mais c’est ****, c’est très ****. Donc je souffle les bougies, Et je vous souhaite une bonne nuit.