Je n’ai pas ses yeux d’un bleu profond, Ceux dans lesquels tu t’y noies. Tu devrais voir ton regard d’adoration, Pourquoi tu ne peux l’avoir pour moi?
Ni même les courbes délicieuses de son corps, Celles sur lesquelles tu y découvres le monde. Tu devrais sentir l’effet de tes mains carnivores, Quand sauras-tu que je veux aussi ses secondes?
Non plus le caprice de son indifférence, Celui pour lequel tu t’acharnes à vaincre. Tu devrais écouter ton incohérence, Où il faut que j’aille pour jeter mon ancre?
Tu peux m’avoir toute entière, Des yeux bruns où tu t’y blottirais, Un corps dévoué pour te plaire, Et un amour qui ne s’éteindrait jamais...