Ton Cléonte, par son trépas, Jette un puissant appas À la supercherie Vu l'éclat infini Qu'il reçoit de ta plume après sa tromperie, Chacun voudra tromper pour être ainsi puni ; Et quoi qu'il en perde la vie, On portera toujours envie À l'heure qui suit son mauvais sort, Puisqu'il ne vivrait plus s'il n'était ainsi mort.