Il lui disait : « Vois-tu, si tous deux nous pouvions, xxL'âme pleine de foi, le coeur plein de rayons, xxIvres de douce extase et de mélancolie, xxRompre les mille noeuds dont la ville nous lie ; xxSi nous pouvions quitter ce Paris triste et fou, xxNous fuirions ; nous irions quelque part, n'importe où, xxChercher **** des vains bruits, **** des haines jalouses, xxUn coin où nous aurions des arbres, des pelouses ; xxUne maison petite avec des fleurs, un peu xxDe solitude, un peu de silence, un ciel bleu, xxLa chanson d'un oiseau qui sur le toit se pose, xxDe l'ombre ; - et quel besoin avons-nous d'autre chose ? »