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Car mon cœur, jamais fatigué

D'être ou du moins de le paraître,

Quoi qu'il en soit, s'efforce d'être

Ou de paraître fol et ***.


Mais, mieux que de chercher fortune

Il tend, ce cœur, dur comme l'arc

De l'Amour en plâtre du parc,

À se détendre en l'autre et l'une


Et les autres : des cibles qu'on

Perçoit aux ventres des nuages

Noirs et rosâtres et volages

Comme tels désirs en flocon.
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