(Vers écrits au-dessous d'une tête de femme dessinée sur le mur.)
Qui que tu sois, je t'en conjure, Mets ton lit de l'autre côté. Ne traîne pas ta couverture Sur le sein déjà maltraité De cette douce créature. Un crayon plein d'habileté Créa son aimable figure, Qui respire la volupté. Elle est belle, laisse-la pure.