Pauvres amants se croient pour toujours et à jamais. Se mêlent dans l’extase; s’embrassent; Claire de lune, Beethoven et bougies. S’enfichent de l’avenir. Ombres pourpres et vagues mélodies font tomber des larmes de tristesse, de bonheur, d’absurdes épanouissements qui vont hiberner jusqu’au printemps nouveau. Mêmes marins incessants – travaux mutuels, divertissements corporels, nuls rapports d’esprit sauf les jeux éternels qui se jouent.