Quelle honte que cet oubli, où as-tu rangé cette douce sympathie qui, dans son absence infinie, réitère la beauté qu’a été sa vie ?
Malheur…
que ta douleur reprenne propre ampleur si jamais tu parvenais à piétiner cette belle petite fleur pleine de douceur. Les traits de son visage s’estompent, quelle honte, ne la laisse pas s’échapper ainsi au fil des années. N’oublie jamais sa douceur et le bonheur qu’elle t’a apporté.
Aujourd’hui elle n’exprimerait que son désaccord; le jeune homme qu’elle connaissait, existe-t’il encore ?