Peau mate, corps féminin majestueux
Sourire qui redonne espoir, cheveux tressés
Taira ne voudra certainement pas de moi
Les matins pourtant, lorsque je l'entends
Chanter au réveil de sa voix qui porte
Jouir fort quand elle se masturbe
Je suis émoustillé, la réalité prend une forme différente
Taira, dose d'endorphine similaire à l'amour
Taira, assise sur la chaise et le soleil
Le soleil reflète sur sa peau colorée
Son visage illuminé, elle fume raisonnablement
Son bras par-dessus sa tête, elle y plie son coude
Que son aisselle est exposée,
Sa poitrine semble belle derrière ce top
Et me regarde. Longuement.
Son regard me transperce tant, que je ne peux m'empêcher de baisser les yeux
Rougir, presque
Mes yeux qui, rivés sur ses lèvres au goût café du Brésil,
Trahiraient mes envies inavouées
Je la désire.
Mais Taira ne voudra certainement pas de moi
Je chercherai pourtant un contact de sa peau contre la mienne,
Si j'ose l'approche.
—
Et ce n'est pas que je veuille rapporter tout au Voyage de la vie, mais
Taira, qui ne voudra certainement pas de moi
De son énergie, me pose, me soulage, me rassure
le 03 janvier 2025