Submit your work, meet writers and drop the ads. Become a member
Laura Kragh Jun 2015
Jeg svarer dig ikke længere på snapchat
(uanset hvor meget det frister)

For jeg vil godt have noget med dig
(men jeg er bare pisse bange for at det ender som sidst)

Det knuste mig fuldstændigt
(og jeg ville ikke kunne klare endnu en omgang)

Så i stedet ligger jeg her
(og tænker på alt det der måske kunne ske)

Hvis jeg svarede dig på snapchat
solenn fresnay Nov 2012
A six heures trente- neuf ce matin le grand sourire et un peu trop de blush sur la joue gauche
J'ai senti qu'entre nous deux un léger décalage dans les pratiques professionnelles il y avait
Je n'ai pas su déterminer quel nombre exact de cuillères à café je devais mettre pour l'équivalent d'une cafetière pleine
J'en ai mis six
Il n'en fallait que deux
A midi moins deux minutes nous n'avions toujours pas fini nos toilettes
Il ne restait plus une goutte d'eau, juste des amas de mousse anti-cancer qui s'entassaient là à même le sol, noyés par des milliards de fourmis portant sur leurs dos trop courts des litres de caillots de sang
Le pire c'est le cancer de la vessie, on dirait de la porcelaine, j'osais à peine vous toucher, vous m'excusez?
En attendant le prochain voyage pour la planète cancer j'ai tartiné mon pain de confiture de groseilles, ou était-ce de la prune ?
Peu importe, je ne me sentais pas très bien et je voulais boire le sang de ma propre mère en prenant soin de m'étouffer avec ses quelques caillots restants, en hommage à ses quelques non-dits d'une vie plus que passée et depuis longtemps oubliée
Comme dans la cour d'école, vous ne m'avez pas choisi et j'ai senti que mes jambes me lâchaient
NE FAIRE QUE COMME VOUS ET ÉLIRE DOMICILE DANS VOTRE CAGE D'ESCALIER
J'ai dit "encombré", vous m'avez corrigée et ouvrez les guillemets, je cite: "Pas encombré, mais dyspnéique, cela s'appelle de la dyspnée"
CONN-ASSE
Je me suis appuyée contre le mur, vous ai simplement souri et tout n'allait pas trop bien avec mon blush en surdosage
Les mots étaient là coincés au travers de ma glotte, impossibles à sortir, je ne vous trouvais plus, vous ai simplement servi un café dans une petite tasse en ayant au préalable pensé y cracher toute ma morve dedans
CONNASSE, ON DIT PEUT ETRE DYSPNEIQUE ET PAS ENCOMBRE MAIS QUI DIT QUE TEL PATIENT EST P-SSSY A TOUT BOUT DE CHAMP CA VEUT DIRE QUOI D'AILLEURS ETRE P-SSSY SURTOUT QUAND ON VA CREVER?
Putain, j'ai rien pu dire du tout jusqu'au yaourt aux fruits rouges
Mes seules paroles formulées ne furent pas prises au sérieux et mon salaire ne fut plus qu’une avalanche de vers de terre en pente descendante
Comme un tel visage dépoussiéré et quelques centimètres d'un seul poumon à la surface de vos quatre-vingt trois printemps
Mais que nous reste-t-il donc à vivre ?
La tumeur est là bien visible et vous empêche de parler, presque, de respirer
Vous perdez la tête
Nous perdons la tête
Mais qu'avez-vous donc fait pour mériter telle souffrance?
Chaque nuit le même rêve d'un père que je tue de mes propres mains bouffées par la vermine
De là je l'entends geindre et ses draps sont tachés de sang mais je continue de courir
Je cours encore
Je cours toujours
Je ne sais faire que ça, courir
Je vais m'évanouir
Bon Dieu que je déteste les gens.

Mes cheveux me démangeaient alors dès la sortie des classes je suis allée m'acheter de la compote à la cerise et sur le chemin du retour mes cheveux continuaient à me démanger je les ai donc déposés bien délicatement au fond du caniveau de la rue Edgar Quinet
Je suis nulle, je suis nouille et je travaille à Convention
Et à Convention, vous faites quoi?
Dans le théâtre, je travaille dans le théâtre
Il s'appelle Boris et en fait c'est pas ça du tout
Il n'y avait pas de chauffage chez moi et la femme n'était pas enceinte
Je n'ai jamais rien compris au fonctionnement propre d'un miroir et j'ai mes derniers textes qui attendent d'être classés ainsi que la syntaxe à rafraîchir
Appelez-moi comme vous voulez et arrachez moi toutes mes dents, peu m’importe
J'ai le poste de télévision qui dérive sur la droite
Laissez-moi finir mon chapitre et surtout ne dites à personne ce que je vous ai dit
Oubliez l’écrivaine qui écrit comme elle respire
Je ne fais que torcher des culs comme on emballe des endives, le monde tourne à l'envers, le bateau coule, c'est la crise, non l'escroquerie pardon, te souviens-tu du jour où tu as rêvé...
Prendre un paquebot à l'amiante et t'envoler pour la planète Néant
N'oubliez jamais que peut-être demain matin de votre lit vous ne pourrez plus parler car durant une nuit sans fin votre tête rongée par la culpabilité aura été tranchée
Je sens je pisse encore du sang et ma vie n'est plus qu'un cargo à la dérive
Baissez donc le rideau et laissez-moi, vous m'avez assez emmerdé pour aujourd'hui.

.../...

Je l'ai vraiment tué ?

.../...

Je ne sais plus
Alors j'ai avalé les derniers débris de glace
Il respirait encore quand je suis partie
J'ai chié dans mon jean troué aux deux genoux et j'ai simplement continué de courir.
Mateuš Conrad Jan 2020
.remember this youtube channel: harakiri diat...

i think this genre of music has a name: brutalism...
last night i watched 50 book recommendations
by the cosmicsceptic...
beside his oxford specific titles relating
to his philosophy and theology degree...
came the fictional books...
i presumed that i didn't read anything going
into this video...

i can be forgiven for not reading a christopher
hitchens when i've read some knausgård...
perhaps i presume to have not read anything...
because... i do quiet enjoy the act of reading...
so much so that... only scraps remain for me that
are: useful...

i can't imagine finding any use from a book
if it's not already in it...
apparently i'm not so under-read as i led myself
to believe...
but this is not about literature...
i was looking for a genre to encompass...
say... vomito *****...
the klinik...
the soft moon...
but i couldn't come to anything of worth...
not until i foraged for the more obscure...
the raw pulp...
primitive knot - ******* of brutalism...
again... the channel harakiri diat
has the music covered...
zeit und geist... i am the fire...
let's keep it clean...
i would go as far as to include
bohren & der club of gore: midnight radio
into this whole mix...

as much as i'd love to push for die krupps...
no can do... their stuff is polished goods...
vomito ***** is polished goods...
but there's still something raw about them...
once upon a time there was this "thing"
about doom metal... electric wizard... etc.,
but i can say... this new brutalism is...
by far... better than a gavin mcinnes diet
of punk... i never liked punk...
i never liked punk as i never liked rap...
hip hop yes and all that jazzmatazz fussion...
some solid grit...

after all... Romford, Essex...
probably the last bastion of the music shop...
a his-master's-voice with a vinyl section...
my idea of a tennis-court,
a cafe, a swimming-pool, a park,
a church even... because you can never really
own too many records...

and between me and you:
what's the difference between me and my neighbor?
he plays his music, mostly rap...
on the speakers... and sings along to the songs...
he finishes the day with some r'n'b and stops
singing... i take over...

headphones in, 6ft2 posture hunched in a chair
scribbling with chicken-pecking precision
some long lost "hierogylphic"...
and of course: in between some, literature...
but it was only about the music...
youtubers ruined youtube as much as
the "legacy media"... or the next will smith...
"vlogger"...

once upon a time youtube was a haven for people
like me: who only used it to find new music...
somehow the glitches started and the music video
recommendations died: youtube thesaurus algorithm
became corrupt or something...

would i ever sing-along to a song?
not if it's as raw as a stake-tartar and the dish
needs to be served with merely thinking to compliment it...
i'll repeat what i've already said:
gentlemen! the jukebox is ******!
- and i was the type to listen and then buy
a physical copy... even though i didn't have to...
i could go back and listen to the same stuff again...
out of principle...

no car = no car insurance no road tax...
no mobile phone = no... bill...
in terms of primitive knot, though?
would you rather go blind or deaf?
that's a tough one...

listening to primitive knot or watching
a latex lucy b.d.s.m. short *****-flick...
i know: it's the obvious synonym overlap...
but at the same time it isn't...
gimp suits or all those other unicorns of the bedroom...
but no... the most forbidden act i ever managed
to fathom in a brothel was a kiss...
one time i pulled out a ***** from a drawer
when she went with the money to the madame
of the parlour and coming back asked me:

do you want to use it?
*** to me is like rye bread...
it's not a ******* croissant...
toasting alone will do the trick...
language is already complicated by necessity...
of crosswords and the boredom
that most mono-lingual people feed not having
learned a crossword of bilingualism...
why would i inhibit this fact of voyeurism?
apparently there's something immoral watching
someone get pleasured...
perhaps i should find some rare footage of
a peter anthony allen hanging...
or Leroy Hall, Jr. at the Riverbend (Nashville, Tennessee)?
perhaps i should start jerking off on
a whim, from time to time...
over execution footage?

perhaps it's that sort of conundrum...
you see someone eating ice-cream and enjoying it...
you therefore? buy yourself a cone?
god almighty... but the added responsibility
of also owning the fridge and freezer
when that spontaneous whim passes...
after all... there's always that diet of...
the girls jerking off into the camera...
which is probably the least guilt-riddled form
of ******* on the planet...

hey! if she's doing it... and you sat down
on the throne of thrones to do the no. 1 and the no. 2...
let's call it no. 3 and taking a baptism later (no. 4)...
esp. if you haven't been circumcised...
at this point: i feel sorry for the circumcised men...
that do not live within the rigours of a hasidic orthodoxy:
the circumcised man: the subservient woman...
the circumcised man: the woman in a niqab...
i guess that's how it works, no?
imagine the problems...
if the man were circumcised... but the woman...
was not supposed to pay any sort
of "penalty"...

then again: one would expect to find the best
***** under the crucifix...
stigmata pin-head and all those dittos...
and heads... but i am a connoisseur... 1970s...
1980s... but it must be Italian...
no... not German... and certainly not English...
chances are: yes, French... but more or less
Italian... and it's always on a whim...
connoisseur... well there are videos where
you can find a pregnant woman parading her bump...
and squeezing her *******...
and that's about it...

i want to imagine what those 9 months
of pregnancy must feel like...
for better or for worse... the oral demands...
perhaps i haven't written about this sort of stuff
for a long enough period...

now an interlude where i smoke a cigarette
is bound to be... exquisite...

it sure as hell is the safest way to arrive
at some sort of *** that's purely plesurable:
a gradation of *** without consequences...
but is this a celebration?
a woman ******* on camera with
her toys is a celebration...
me my ******* and the phantom hand...
there's no theatre in it...
the utility of taking a ****, taking a ****...
doing "it"... then having a shower...
and then "repressing" it...
not having "repressed" it to begin with...

i did a month once...
i came to the conclusion... that i'm more impulse
prone, i was planning my next brothel
visit... after a month i was still planning it...
then i relieved myself and...
would you believe it? the impetus dissolved!
i don't know what these right-wing
europa-identitarians are coming up with...
so much attention on:
i enjoy reading as much as i enjoy taking
a ****... notably the constipated kind
but esp. more of the diarrhoea nature...
hello mr. **** hello mrs. geiser!

perhaps that's why i wouldn't ever be a fan
of ******... i enjoy taking a **** too much...
or perhaps i'm just too old fashioned...
but this began as something orientating oneself
around a music genre...
how did it come down to pornogrpahy?

jean genet: the thief's journal...
i was really hoping for something marquis de sade
-esque... there was still too much:

solo girl does her bit...
so well in fact... that... buying a *** doll
must only remain a h'american thing...
*** is already shamed when marriage comes
along in anglo-saxon societies...
notably the inflateable sheep or doll
on those normie stag parties...
*** and children and the joke is:
you can only have good ***...
if you're ******* for procreative reasons...
bypassing the ****** for the sake
of the children...

otherwise... well no ******* doesn't help...
if... there's no wife in a niqab in public...
or some kosher wifey either...

i still have mine and i will keep that...
as... almost... a security policy...
a prenup...

pauk-mumije (1982 bosnian post punk)...
perhaps brutalism is just post-punk?

i remember it quiet clearly...
i still can't fall asleep without listening to music...
as i couldn't back then...

otchim - james dean...
the bass and no guitar riffs until the chorus
comes... and... ha ha... it's in fwench!
just like i could **** her without listening
to really... atmospheric music...
by 2007 standards that was equal to:
the dandy warhols...
but that was 2007...

these days... hardly candles and
black sun dreamer - post-traumatic stress disorder...
back then it was candles
and type o negative...
the candles and... catching a mouse...
no trap... a labyrinth of obstacles
and she sitting on the bed giggling while
i played being a maine ****...
and i did catch the mouse...
held it by the tail... let it lose on the stairwell...
and then watch its traumatised body try to
find a hole... scuttle and then fall...
to a depth of a greater serenity of
a... vermin's suicide: with no monkey sing-along
of... this mouse has done the cheese...

and it was sad when i was naive and
i accidently killed my hamster in a similar
fashion... but some ***** Abel...
but at least the mouse allowed me to
circumstance a Pontius Pilate relief...
and she asked me: what did you do with the mouse?

oh... it committed suicide.

chicago research compilation... tape CRO15...
perhaps listening to the cure
or depeche mode was once a "thing"...
no... burtalism is not post-punk...
pisse - kohlrubenwinter...
red zebra - i can't live in a livingroom...

my one personal joke...
in england i started calling the livingroom...
the civilroom...
pokój cywilny - if it must stress the St. Cyril...
so it must: комната гражданский..
brutalism is not post-punk...

stiff little fingers... are punk's creamy pie...
oto - bats...
bodychoke - cruelty
       "            - red dog
       "            - the red sea
legendary divorce - age with us...

somehow more of my ****** valnetine...
and less sonic youth...

i do remember pretending to date...
at high school...
the first question was always a nervous
build-up to the question:
'what music are you into?'

weird party - acne puncture...

well would you believe it...
some of us are still after something that
finds no sort of aleviation
in the alternative that's an aydin paladin
video...

POPEiUM - papacidal coronation...
Münn - II. in defeat...
a john peel: a no john peel...
the sort of piano that makes
a debussy or a satie blush...
AMORT - die hexes...

the current standard of... the stoogers...
or stooges... and... air no concern...
the limbo artifact of ***...
formerly known as the... limbo pickling...
of the undead...
and all those that come with an eczema and
the scabs of leprosy...
and vampires: those syphilitic zombies...

susumu yokota, and all those stupid,
solipsictically assured cats, grinning...
menace of the grin!
full cheese impromptu with a display
of teeth!
a night promenade into the forest
listening to: demdike stare's tryptych...

i haven't tried... but from 1pm through to 5pm...
i could phone classic.fm and ask
for... a song to be played in my name...
perhaps i'll phone in...
if i catch the right "once upon a time"...
and find it... as i found...
christopher young's: something to think
about...

**** and music... many interludes...
perhaps some little borat-britain references...
and then: none...
per 1K there's a cult...
per 10K there's a counter-culture...
come the 918 apostles... of jonestown...
there's no leftover for no...
alternative...

the restless mind starts its exercise
in petty squabbling....
why weren't i the respected,
vatican proof for a plumber!
why wasn't i to become,
the undertaker!

i too feel: the claustrophobia
of the ensue of the paragraph...
what is primitive knot contra U2...
mainstream? sod it: knot it a blood
and a sundail!
blood dries... the mercurial mythology
dries a solidity of
something becoming more an echo...
and less a sodden-print of the foot...
which the tide will,
nonetheless relate itself as...
worthy of being erased...

the violin concerto...
the piano nocturnes...
and the symphonies...
and the operas...
later the ballet...
beside... a chopin would write a nocturne...
a debussy would write one also...
but...
debussy writes a nocturne...
satie writes a nocture...
but a schumann?! a schubert?!
they write a concerto!
none of their work could have been written
in solide with a solipsistic monologue
escapade...

perhaps i can only appreciate chopin via
his nocturnes...
otherwise i am not convinced...
the greats wrote.... symphonies...
operas... never accompany pieces
to make their instrument an oak...
a tree... and not something resdual
to later make a mahoganny piano / table
of...

pianists! you only hear of their prowess!
Liszt! Chopin! Debussy! Satie...
exclaim as if to: suprise the "audience"
with either knowledge or...
adoration?
can a violinist make the same sort
of statements?
a pianist will play... with an accompaniment...
he will never become the maestro
predisposition
of the polyphony...

a chopin only heard the piano...
a debussy only heard a piano: solo...
a beethoven or a mozart...
what violin solo? what of a violin concerto?!
is that a trick question?
old father bach...
no instrument: well...
shubert loved allowing a piano ****
a bunch of harem violins in a harem crescendo
of a concerto...

but a nocturne? the polyphony of...
the "polyphony" of...
two pianos playing side-by-side...

- the joint"laura's"1967 kk proto prog freak phych -
no, that's not it...
- and no... it's not omega - gyöngyhajú lány...
- well **** on me...
locomotiv moscow is not a band...
but an f.c.... beg your pardon...

as i do hope that i am wrong about
a minor "technicality"...
somehow classical, essential...
and nothing worth or being able to: hum...
or sing-along-to...
always serious and finding outlets
of a necessity in being: thought of...
perhaps there's this grand:

technicality of not finding oneself sighing
or crying for that matter...
vaughan williams is more required...
for the expanse of a cowboy movie
horizon...
or that technical term...
the: deconstruction of the dutch angle
in the perspective shot...

but we don't talk about *** as much
as we don't engage in it...
and we certainly don't talk about music...
the absolute brutal needs to be found...
a butterfly a lotus a kiss in a brothel...
all else is... the slaughterhouse....

this has been a...
no Friday night in Soho can match-up...
i've spent better nights in
Amsterdam...
and no... the red light district was
never going to be a cannabis cafe for me...
or some Vermont-esque quest for a better
pint of ale...
*** was on sale...
there was not real point of making
any money from it in the medium of fiction...
it was always going to be
ugly, frictive... below par of expectation...
but it was always going to
be fathomable... fathomable in a sense
of it being respected...
as a hierarchical undermining...

oh what since was, truly was concrete...
but the verbiage came along
and fiddled with the fog and the end-result
deems itself abstract...
there's the concrete of drought...
and the abstract of locust.
there's the concrete of a mountain...
and the abstract of a pyramid;
there's the concrete of death...
and the abstract of a mosileum;
after all... a grave is a coping mechanism
of someone who...
never began the inquiry... of mortality...
joking as a child might...
pretending to handshake his own shadow.

as i have found the antithesis of narcissus...
the man who fell in love with his shadow.
Edna Sweetlove Apr 2015


Le Grand Restaurant Gastronomique
de Monsieur Merde


Rue Ordure des Anges 69
Conville-le-*****
96969 France


**************

NOTRE­ MENU DU JOUR

~ €500 par personne tout compris ~



LE COCKTAIL DE LA MAISON
"Champagne aux vomissements de chat"
[A giant flute of the finest Cristal champagne with a spoonful of puréed pedigree cat's *****, served with our unique world-famous warm amuse-gueule of fricasséed feline *****]
~

PREMIÈRE ENTRÉE À VOTRE CHOIX
"Le potage aux asperges extra spécial"
[Cream of over-ripe asparagus soup with roasted toads' eyeballs, served chilled, accompanied by our unique home-made nostril pickings "petits chips"]
ou
"Couilles pissées plein d'amour"
[Raw bulls' testicles from organically bred animals, removed whilst the creatures are still alive, thus ensuring none of the precious ******* juice is wasted, lovingly marinated by the head chef, in triple-concentrated bovine ***** from our own Charentais herd of rare endangered species ****** cattle]
~

DEUXIÈME ENTRÉE DU CHEF
"Flegme des Dieux"
[A classic "Monsieur Merde" dish: bite-size deep-frozen gobbets of fatally-ill consumptives' phlegm deep-fried in ape ******-flavoured batter, served in a priceless 19th century silver spittoon, with a loganberry coulis on the side]
ou
"Ravioli al vermi semi-freddo alla Pectinale"
[A rare Sicilian dish re-imagined by Monsieur Merde: each "raviolo" of home-made egg pasta contains a living lukewarm baby earthworm, served with our secret "Sauce Mongol stupide", on a bed of wilted coriander leaves and crispy fried freshly-harvested Sicilian ****** nuns' ***** hairs]*
~

LE GRAND PLAT DU M. MERDE
"Girafe à naître, Sauce utérus"
[Roasted whole unborn baby giraffe, with spicy womb-lining sauce, served with pommes purées with a touch of female rhino ***** and Dijon mustard]
~

NOTRE PLÂTEAU DES FROMAGES MALODORANTS
"Assortiment révoltant"
[Selected personally by M. Merde, guaranteed to contain a wide selection of pure-bred, hand-reared, green Géant Normandy maggots]
~

LE GRAND CHARIOT DE DESSERTS
"L'Héraut de la pompe stomicale"
[Including our signature dish "Crap Suzette", wafer-thin slices of vintage dried elephant dung flamed in 1895 VSO *** Napoleon Cognac]
~
LE CAFÉ et LES PETITS FOURS
"Sélection dysenterie tropicale"
~

Les prix comprennent nos vins selectionés "de la Maison de Merde":

Avec vos "starters" et les entrées: Château Pisse de Cheval 1994
[a full Chardonnay flavour with a hint of rampant stallion's ****]

Avec Le Grand Plat du M. Merde: Beaujolais Villages Supérieur 2006
[a powerful and fruity wine with a refreshing bouquet not unlike unwashed Olympic wrestlers' sweat-drenched armpits]

Avec les fromages: Château Foûtre 1988
[one of the most potent wines in oenological history, with a kick like a hippo's ****]

Et avec le dessert: 1946 Greek Muscat from the island of Shittos
[matured in Turkish goats' bladders to enhance its sweetness]

Bon Appétit!

*If our respected clients would like to sit near to the door to the toilets, please ask the Maître d'Hôtel for assistance, but please note there is a €25 surcharge per person for this much sought-after privilege and advance booking is normally necessary, so please be prepared to ******* if these seats are not available.
Le nom du court métrage c'est Miction Première.

Le personnage: un homme nu. On ne voit de lui que ses deux membres du bas et son membre viril

Les décors : une chambre de jeune femme bourrée de livres sur l'art et les oiseaux

Un matelas queen size sur un lit en bois verni couvert d'un drap rose et deux oreillers roses

Au mur un tableau

On entend le bruit des pales d'un ventilateur.

Près de la fenêtre un fauteuil en velours rouge. La lumière de la nuit filtre par les persiennes.

Une armoire occupe tout le pan du mur à côté de la porte de la chambre. Cette armoire possède un grand miroir.

A la droite du lit il y a une table de nuit ou se trouve un portable branché sur son chargeur.

Juste à côté de la chambre c'est la salle de bains close par une porte

Dans cette salle de bains il y a une ****** italienne, un évier, une cuvette d'aisance, un bidet. Les murs sont en faïence bleue.

Le script: Il est entre trois heures et trois heures et demie du matin

Un homme se réveille et saisit son portable. Cette lumière éclaire la pièce et donne l"heure
L'homme qui était allongé sur le côté est désormais allongé sur le dos.
On ne voit de lui que son sexe qui frétille dans un demi-sommeil au-dessus d'une forêt de poils blancs

Sa peau est aussi noire que la nuit est bleue.

Il dort nu, se lève.

Et se dirige vers les toilettes en tâtonnant

Il allume la lumière qui inonde la pièce.

Et se présente au-dessus de la cuvette

Où il satisfait un besoin naturel.

Il pisse en un long jet de 45 secondes

Colorant l'eau transparente de la cuvette

D'un jaune mordoré

On entend clairement le bruit d'un ruisseau ou d'une source qui se déverse

Puis la chasse est actionnée

Et on voit le sexe qui palpite pendant que ses eaux disparaissent dans la fosse septique

Tandis que perle la dernière goutte d'*****.
Frederik B Jun 2014
Jeg har altid hadet hospitaler.
Hospitaler med deres hvide vægge.
Lægerne med deres hvide kitler.
Glassene med de hvide piller.
Sengene med det hvide betræk.
Og for engangskyld hadede jeg månen. Så klam og hvid. Så pisse irriterende hvid og rund.
-*** var ret hvid.
Ikke på den klamme og irriterende måde, men på en måde, der lyste i mørke. Som en gadelygte midt i nattens ingenting. En gadelygte, der lyste både dag og nat.
Pludselig slukkede den.
*** fortalte mig, at tidlige aftener bliver til morgener sent.
Mine hvide fingre strøg gennem hendes bølgede hår.
*** kiggede på mig med hendes lysende øjne. Jeg kiggede tilbage.
*** smilede.
Jeg tog fat i elefanten og gav den til hende. *** klemte den helt ind til sig, og en grå tåre faldt fra hendes hvide kind.

*f.b
*******
****** of
****** o
******
Pisse
****
Pis
Pi
P
Pi
Pis
Pist
Pisto
Pistol
T
To
A
T
Ta­
Tar
Targ
Targe
Target
A little fun poem i just decided would be cool to type.
Jeg vil så gerne kunne tro,
at det perfekte er en idealistisk skabt vrangforestilling,
tro på når jeg frygtløs fortæller mig selv,
at jeg er ligeglad.
Men jeg er pisse utroværdig.
Fanget i samfundet, i egne utopiske glansbilleder. Dybt begravet i overjordiske smerter, der forsøges dæmpet af den anbefalede dosis Panodil og nogle gule sataner, der ødelægger dit liv.
Jeg stopper med at spise, fordi sult ikke er at samligne med verden.
Prøver at forsøde den øredøvende tavshed med ensomhed.
Den bedøver mig, og ingen kan høre, at jeg skriger.
Et elastisk sind spændt til bristepunktet.
'Hvis bare du var transperant', men nej. Jeg er lavet af porcelæn og græder glastårer, når ikke I kigger.
Jeg brækker mig også over korrekthed og for lidt liv.
Over hvordan min sjæl bliver hjemløs, hvordan glasknogler romantiseres af uvidenhed om et helvede på jord.
Så lad mig skrige hvide vægge sorte, lad mig bløde i fred. For bag min månehvide hud bor der dæmoner der lever af koffein. Jeg har beskidte knogler og et blodsprængt hjerte - et sind der ikke kan gå mere i stykker.
- Og jeg vil så gerne kunne tro, at jeg er ligeglad.
Moi mouchard ?... oui, madame Phaïlle,
Comme on Vous nomme dans l'endroit,
Que Tu ravis avec ta taille,
Où tu prends du bout d'une paille,
Au temps chaud, ton sorbet... très froid.

À l'Ictinus ! près de la place
Et du palais de Médicis,
Tu t'asseyais, pâle, un peu lasse ;
Et ta grenadine à la glace
Souriait, rose, à mon cassis.

Beau café ; terrasse ; pratique
Chère aux chanteurs du vieux Faubourg ;
À proximité fantastique
De l'Odéon ; vue artistique
Sur les arbres du Luxembourg.

Je disais ? ah !... ceci, Madame,
Que s'il est un pauvre mouchard
Sur la galère noire où rame
L'esclave du Paris infâme,
Sans l'excuse d'être pochard,

C'est moi, je n'en connais pas d'autre,
Chefs ni roussins. C'est entendu.
Ah ! si ! j'en connais un... l'apôtre...
Ô catholiques, c'est le nôtre ;
Oui, le seul... qui se soit pendu.

Nul n'a ramassé son nom sale ;
L'amour n'a plus redit ce nom.
La chose était trop... colossale !
Qu'un père appelle... Élagabale
Son fils... à la rigueur... mais... non.

Ah ! Madame ! que ça de fête !
J'en connais un second : Javert.
Le Javert chéri du poète,
Qui dit la messe... avec sa tête !
Triste prêtre du bonnet vert !

Mais ça vous pose ! on vous renomme
Chez les gueux et chez les richards !
On croit troubler le pape à Rome !
Et ça fait de vous un grand homme,
Vénéré de tous les mouchards.

Mon Javert, dit-il, est honnête.
Honnête ! où vas-tu te fourrer ?
Ce n'est pas sublime, c'est bête :
Autant contempler la lunette
Où le trou du cul vient pleurer.

Un mouchard, mais ça vend son âme !
Comment, son âme ! son ami !
Ça vendrait son fils ; une femme !
Pourquoi non ? C'est dans... le programme,
On n'est pas honnête à demi.

Ça vendrait n'importe laquelle
D'entre les femmes d'à présent !
Quand je songe que la séquelle
Pourrait t'effleurer de son aile
Ne serait-ce qu'en te rasant,

Comme Éole, qui souffle et cause
Des ravages dans le faubourg
Où, la nuit, Montmartre repose,
Peut importuner une Rose
Dans le jardin du Luxembourg ;

Moins : comme le zéphir, qui rôde,
Vent, on peut dire, un peu balourd,
Mais bon zouave, allant en maraude,
Peut froisser la Fleur la plus chaude
Des plus blanches du Luxembourg ;

Moins : comme une anthère blessée
Par la brise folle qui court,
Sa chemisette retroussée,
Peut entêter une Pensée
La plus belle du Luxembourg.

Moins : comme la vergue cassée
D'un marin, retour de Cabourg,
Fier de sa flotte cuirassée,
Fait se tourner une Pensée
Vers le bassin du Luxembourg ;

Moins : comme une vesce élancée
Par une bague de velours,
Lui fichant sa douce fessée,
Distrait la plus sage Pensée
De l'un et l'autre Luxembourgs ;

Rien que ça ! ce serait la pire
Des injustices envers Toi.
Il est minuit, je me retire.
D'ailleurs, j'ai quelque chose à dire
Au Préfet de Police, moi.

Toi, toutes les femmes sont bonnes,
Tu m'entends ; seules, ou par deux ;
N'appartenant qu'à leurs personnes ;
Quant à tes mouchards... ces colonnes ?
Dis plutôt... ces bâtons merdeux,

Tu vas tous les foutre à la porte ;
Mais, en assurant leurs vieux jours ;
Jusqu'à l'heure où le char emporte,
La dernière... retraite... morte,
Et laisse faire les amours.

Ce sont tes pieds ? Chacun y pisse.
Honneur aux pieds estropiés !
Mais les tiens ! tu sais où ça glisse !
Donc... mon beau Préfet de Police,
Laisse-moi... te laver les pieds...

Assieds-toi ; jette au feu ta honte,
Au vent tous tes affreux papiers !
Fais remplir un bassin en fonte ;
Comme les pieds des douze, compte...
Laisse-moi... te laver les pieds...

Tes pieds aussi noirs que la suie,
Comme moi-même je les eus,
Baignant dans les eaux de sa pluie,
Et souffre que je les essuie
Avec le linge de JÉSUS.
Maja Klit Jun 2015
Målet er at ramme flaskebunden.
Derefter sættes samme mål.

REPEAT REPEAT REPEAT
(Det er blevet normens faste procedure)

Målet er at være stilikonet. Tiltrække gade fotograferne. Genvejen til de fem minutters berømmelse.

KNIPS KNIPS KNIPS
(Det hele er blevet en farverolade)

Målet er at pisse byen gul. Urban gødning er vel det rette ord når køen til de røde bokse er for lang.

SSH SSH SSH
(Kan ikke længere se forskel på øl tis vand)

Målet er at score. Så mange singler samlet med håbløse forventninger.

SUT MIG SUT MIG SUT MIG
( Det er det nærmeste de kan komme kærlighed)

Målet er at have en fest. Sild i tønder til hjernedøde beats.

BASS DROP BASS DROP BASS DROP
(Når de gode endelig kommer til lukkes festen af de euforiseredes konsekvenser)
Sonnet.

Je vis assis, tel qu'un ange aux mains d'un barbier,
Empoignant une chope à fortes cannelures,
L'hypogastre et le col cambrés, une Gambier
Aux dents, sous l'air gonflé d'impalpables voilures.

Tels que les excréments chauds d'un vieux colombier,
Mille Rêves en moi font de douces brûlures :
Puis par instants mon coeur triste est comme un aubier
Qu'ensanglante l'or jeune et sombre des coulures.

Puis, quand j'ai ravalé mes rêves avec soin,
Je me tourne, ayant bu trente ou quarante chopes,
Et me recueille, pour lâcher l'âcre besoin :

Doux comme le Seigneur du cèdre et des hysopes,
Je pisse vers les cieux bruns, très haut et très ****,
Avec l'assentiment des grands héliotropes.
Et-eller-andet Jun 2015
jeg er så pisse sur
jeg har lyst til at skrige dig op i ansigtet og rive dig i håret
bide dig, slå dig, sparke dig
spytte på dig
se dig være forsvarsløs og uden din så kække, forkælede udstråling

jeg gjorde alt for dig
og du sårede mig
gang på gang på gang
Mariee Sep 2016
jeg er så glad
og det skræmmer mig pisse meget
at en person har den her indflydelse på mig
det er så skrøbeligt
for jeg skal kun miste en
dig
for at miste alt
Sonnet.

Je vis assis, tel qu'un ange aux mains d'un barbier,
Empoignant une chope à fortes cannelures,
L'hypogastre et le col cambrés, une Gambier
Aux dents, sous l'air gonflé d'impalpables voilures.

Tels que les excréments chauds d'un vieux colombier,
Mille Rêves en moi font de douces brûlures :
Puis par instants mon coeur triste est comme un aubier
Qu'ensanglante l'or jeune et sombre des coulures.

Puis, quand j'ai ravalé mes rêves avec soin,
Je me tourne, ayant bu trente ou quarante chopes,
Et me recueille, pour lâcher l'âcre besoin :

Doux comme le Seigneur du cèdre et des hysopes,
Je pisse vers les cieux bruns, très haut et très ****,
Avec l'assentiment des grands héliotropes.
Guess Apr 2020
Ow if I could write a book I would put a spell on you
Spit on you
Hug you love you
Hold you warm you cous you
Untitled to me
Pisse ***

— The End —