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Gabrielle Ayoub Jul 2014
Citoyens du monde,
Un climat d'intolérence et de fanatisme s'installe, des révolutions menées au nom de fausses idéologies font tache d'huile. A l'heure ou' fleurit l'obscurantisme des sociétés qui se transforment en moutons de panurge, en foules violées par la propagande politique et empetrées dans une conception maladroite de la révolution et du changement, l'individu doit se distinguer de son groupe.
Le XXème a été le siècle des guerres mondiales, ne laissons pas le XXIème devenir le siècle des persécutions aux noms d'idéologies et de conceptions délirantes.
Sachons au moins nous reconnaitre entre nous, nous reconnaitre en tant qu'individus pensants et non en moutons de panurge aliénés. Nous sommes certes influencés par les sollicitations immédiates de la situation et ce que font les autres autour de nous. Si l'homme, de nature est un etre autonome, comment se permet-il d'abandonner son sens critique et de se faire embrigader au nom de théories insensées? Eduquons nos  gosses, saisissons toutes les occasions de sauver ces foules fanatisées!
"Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde", disait Gandhi. Le changement commence par chacun d'entre nous, ici-meme, aujourd'hui, nous sommes le changement de demain.
Ceci est un discours que j'ai rédigé pour mon projet de TPE "individu et société".
Virginie Mar 2018
Parmi les vagues au milieu de l'océan,
sous le ciel orageux et menaçant :
je t'attends.

Parmi l'immensité de l'univers, suffoquant
sous les étoiles scintillantes :
je t'attends.

Parmi la merveilleuse nuit tombante,
accompagnée d'une couleur sombrante :
je t'attends.

Parmi les affreusetés apparantes
de cette société répugnante :
je t'attends.

Parmi les individus arrogants
au sein de ce restaurant :
je t'attends.

Je t'attends à chaque instant,
là où mon cœur se trouvant
fort seul, te voulant pour un moment.
Lucas Pilleul Jun 2017
Toutes ces choses qui vous font vous sentir bien,
Vous sentir vrai, vous-mêmes.
Il y a bien un jour, un événement qui les a provoquées,
Sans doute est il bon de toujours se les remémorer.

La vie n'est faite que d'une suite d'étapes
Une succession d'individus, passants et repartants
Rien de tout cela ne me laisse de véritable souvenir
Des passions, une maison, une vie en dent de scie.

Voilà bien tout ce qui me reste.
Mais à me ressasser toutes ces têtes,
Je m'en souviens bien désormais, oui.

L'amour, la gloire, la raison,
Tout cela, est-ce seulement une vision ?
J'aurai bien abandonné, mais cela ne m'était pas permis.
#12
Virginie Jun 2017
Posé au bord de la fenêtre il regardait
Passer les individus qui souriaient.
Il s’était installé dans toutes les âmes de la terre,
Mais eux ne le savaient guère.

Posé au bord de la fenêtre il regardait
Ce qu’il avait bien pu infliger.
L’attente pouvait faire surgir des regrets,
Cependant, il le savait.

Il était posé sur toutes les fenêtres,
Partout, tout le temps, il était présent.
Il était posé sur la mienne, je lui disais « mais arrête ! »

Me faisant rêver encore plus **** que l’utopie,
Portant même un nom me donnant le tournis :
Espoir.
Put at the edge of the window he watched
Crossing the individuals who smiled
He was installed in all the souls
But them didn't know

Put at the edge of the window he looked at
What he had been able well to impose.
The wait could make arise regrets,
However, he knew that.

He was put on all the windows,
Everywhere, all the time, he was present.
He was put on mine, I told him "but stop!"

Making me dream even farther that the utopia
Have even a name giving me the sturdy:
hope.
Tandis que sur l'herbe étendu,
Au bord d'une onde enchanteresse,
Fuyant et la molle paresse
Et le travail trop assidu,
Je ris de l'humaine faiblesse,
Et j'use mes moments perdus
À médire de notre espèce,
Mais non pas des individus ;
Qui peut troubler la paix du monde ?
Contemplant les plaines de l'onde,
L'Europe a réclamé ses droits.
Napoléon s'arme, il se lève,
Et dans sa main brille le glaive
Qui fait et qui défait les rois.
Dans les secrets de sa colère,
Imprudent qui veut pénétrer !
J'ignore en quels lieux de la terre
Albion va le rencontrer ;
Mais quels honneurs, mais quelle gloire ;
Seraient promis à ma mémoire,
Si je pouvais croire aujourd'hui,
Que mes rivaux dans l'art des fables
Ne me sont pas plus redoutables
Que l'univers entier pour lui !

Mai 1812.

— The End —