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Tearani C Sep 2012
I promised for so long to be strong enough
to face the brake,
so i could take the pain and never think
i ****** up. and i was wrong,
so i would have the nerv to hold on.
Beacuse no matter how many people say
im crazy.
no matter how many walk away.
I can not think.
I can not belive.
I can not acept that everyone
feels so **** alone.
so you can lie and test my boundry
i'll give my heart to break.
you can take my aspirations
and sink them in the lake.
You can walk right in and i'll
pull every gaurd away,
lock them in a cell and throw the key
so there the'll stay.
And you can push on all my bottons
tell you think its good and safe,
and then i'll wipe away your past
scrub away the staines.
I'll clean out all the cobwebs
in the closet.
Hold your hand while you face
every dark place created out of
loss.
I'll help you take your bagage off
tell all the trash is tossed.
than i'll let you be and set you free
and light the bridge we’ve crossed.
SG Holter Apr 2014
We build our relationships
With the wreckage of all our previous.
Always.

Bagage the weight of
Broken ships.

Expectations built on debree; forever mirrored in
Shrapnel.

Everyday blows huffin' and a' puffin' and'll blow your house
Down piggie after piggie, love after love bacon.

Burn the next one down to the ground.
Harvest forest fresh and be
New.
Les mouettes volent et jouent ;
Et les blancs coursiers de la mer,
Cabrés sur les vagues, secouent
Leurs crins échevelés dans l'air.

Le jour tombe ; une fine pluie
Eteint les fournaises du soir,
Et le steam-boat crachant la suie
Rabat son long panache noir.

Plus pâle que le ciel livide
Je vais au pays du charbon,
Du brouillard et du suicide ;
- Pour se tuer le temps est bon.

Mon désir avide se noie
Dans le gouffre amer qui blanchit ;
Le vaisseau danse, l'eau tournoie,
Le vent de plus en plus fraîchit.

Oh ! je me sens l'âme navrée ;
L'Océan gonfle, en soupirant,
Sa poitrine désespérée,
Comme un ami qui me comprend.

Allons, peines d'amour perdues,
Espoirs lassés, illusions
Du socle idéal descendues,
Un saut dans les moites sillons !

A la mer, souffrances passées,
Qui revenez toujours, pressant
Vos blessures cicatrisées
Pour leur faire pleurer du sang !

A la mer, spectre de mes rêves,
Regrets aux mortelles pâleurs
Dans un coeur rouge ayant sept glaives,
Comme la mère des douleurs.

Chaque fantôme plonge et lutte
Quelques instants avec le flot
Qui sur lui ferme sa volute
Et l'engloutit dans un sanglot.

Lest de l'âme, pesant bagage,
Trésors misérables et chers,
Sombrez, et dans votre naufrage
Je vais vous suivre au fond des mers.

Bleuâtre, enflé, méconnaissable,
Bercé par le flot qui bruit,
Sur l'humide oreiller du sable
Je dormirai bien cette nuit !

... Mais une femme dans sa mante
Sur le pont assise à l'écart,
Une femme jeune et charmante
Lève vers moi son regard,

Dans ce regard, à ma détresse
La Sympathie à bras ouverts
Parle et sourit, soeur ou maîtresse,
Salut, yeux bleus ! bonsoir, flots verts !

Les mouettes voient et jouent ;
Et les blancs coursiers de la mer,
Cabrés sur les vagues, secouent
Leurs crins échevelés dans l'air.
CallMeVenus Oct 2018
Today it became crystal clear why no one has ever wanted me
I drag so much bagage
and am constantly followed
by demons I gave birth to

In fact some would say
It's a good common sense
to stay as far away from me as possible
Yes, maybe my fingers have the potential to do magic in the light or in the dark, doesn't matter if you are the right one
But is that all you are looking for?
Because, for once I'd rather be the full course than the cold leftover
Homme dont la tristesse est écrite d'un bout
Du monde à l'autre, et même aux murs de la campagne,
Forçat de l'hôpital et malade du bagne ;

Dormeur maussade, à qui chaque aube dit : « Debout ! »
Voyageur douloureux qu'attend la Mort, auberge
Où l'on vend le lit dur et les pleurs blancs du cierge,

Tu gémis, étonné de te sentir si las ;
Puis un jour tu te dis : « L'âme est un vain bagage,
Et mon cœur est bien lourd pour un pareil voyage ! »

Et, sans songer que Dieu te donne ses lilas,
Tu veux jeter ton cœur, tu veux jeter ton âme,
Pour alléger ta marche et mieux porter la Femme ;

Par ta route et ses ponts fiers de leur parapet,
Compagnon de l'orgueil, fils des froides études,
Tu vas vers le malheur et vers les solitudes.

Tout plein des arguments dont l'esprit se repaît,
Tu fais, pour savourer ta gloire monotone,
Taire ta conscience à l'heure où le ciel tonne.

Si pourtant à ce prix tu manges à ta faim,
Si tu dors calme, au creux de l'oreiller facile,
Ecoute ta science et reste-lui docile ;

Si ta libre raison, la plus forte à la fin,
Respire au coup mortel porté par elle au doute,
Pareil au Juif errant, homme, poursuis ta route.

Sois content sans ton âme, et joyeux sans ton cœur,
Sois ton corps tyran ni que et sois ta bête fauve,
Fais tes traits durs et froids, fais ton iront vaste et chauve !

Mais si ton fruit superbe engraisse un ver vainqueur,
Si tu bâilles, les soirs larmoyants, sous ta lampe,
Tâche de réfléchir, pose un doigt sur ta tempe.

Si tu n'as toujours pas trouvé sur ton chemin,
Qu'assourdit la rumeur des sabres et des chaînes
Repos pour tes amours et cesse pour tes haines ;

Si ton bâton usé tâtonne dans ta main,
Pauvre aveugle tremblant qui portes une sourde,
La Femme, chaque jour plus énorme et plus lourde ;

Si Tentant ancien sommeille encore en toi,
Gardant le souvenir de la faute première,
Dis : « J'ai le dos tourné peut-être à la Lumière » ;

Dis : « J'étais un esclave et croyais être un Roi ! »
Pour t'en aller gaiement, frère des hirondelles,
Reprends ton cœur, reprends ton âme, ces deux ailes ;

Et grâce à ce fardeau redevenu léger,
Emporte alors l'enfant, mère, sœur ou compagne,
Comme l'ange en ses bras emporte la montagne ;

Enivre-toi du long plaisir de voyager ;
Que ta faim soit paisible et que ta soif soit pure,
Bois à tout cœur ouvert, mange à toute âme mûre !
leinstinct Jun 2016
Few to none
All to more
They are aware
Of my love afair
How it was fake
How bad i was
The **** i was
The **** i am
The feelings i felt
But cowardice took me apart

I take all blame i broke you up
It seems like bagage was all i had

Seemed not to care for your perfect self
Seemed not to give but still expect

Such a person i had to be
To become the person I'm meant to be
All the ******* you had to take
Cuz maybe you loved and cared  

But here i am renewed at your feet
No way of contact
Many years later i seek
A chance i know i don't deserve
A clue that you remember and care
A last advice now meant for you
A little time to show you
That i evolved
That i am new
That i did care
Care about you  
That i know i love
I love you
Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse ?
La trompette a sonné, serre bagage, et va
Le chemin deserté que Jesuchrist trouva,
Quand tout mouillé de sang racheta nostre race.


C'est un chemin facheux borné de peu d'espace,
Tracé de peu de gens que la ronce pava,
Où le chardon poignant ses ****** esleva,
Pren courage pourtant, et ne quitte la place.


N'appose point la main à la mansine, apres
Pour ficher ta charue au milieu des guerets,
Retournant coup sur coup en arriere ta vüe :


Il ne faut commencer, ou du tout s'emploier,
Il ne faut point mener, puis laisser la charue.
Qui laisse son mestier, n'est digne du loier.

— The End —