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David Barr Dec 2013
The Kingdom of Morocco has a rugged mountain interior which reminds me of the British meal of mince and potatoes. But hold that thought, and examine our seemingly superior Western legislation. Just like the pickle, the dynasty of death is a brazen festival percussionist who is celebratory in her bitter and gustatory inevitability. Jizyah is that taxation which is imposed upon those who fail to conform to those expected societal norms. Although we have the status quo, one cannot help but wonder what happened to the rectitudes of individuality and paradoxical equality? So, where do we go, oh navigator of the great and mighty West? Marrakech or Rabat? I have no concrete awareness of where solace is to be found. I am lost! Therefore, I can only offer the following direction: Contemplate the ever-changing intricacy of the dunes in anthropological amazement and acknowledge the sky at night. Allow the celestial pole of the North Star to speak to your deep uncertainty. Our purpose is openly displayed if we simply open our heart in the midst of our Bedouin oasis. That, my friend, is the essence of being psychosocial.
Annie Nov 2011
She never made it
To Morocco
Rode ’cross the desert
With her Bedouin lover
Shopped for bargains
In the Souks of Rabat
Sipped mint tea
From a frosted glass.

She never went sailing
In a catamaran
And on a moonlit beach
Made love in the sand
Or drank espresso
In a café in Lima
Or danced the flamenco
In Puerto Rico.

She married a man
Cause no one else offered
Had three kids
And moved to the suburbs
Wrapped up her dreams
In brown butcher paper
Tied them with twine
And shelved them for later .

She never made it
To Morocco
Her life was four walls
Plastered in stucco
And she sighed as she thought
Of the things that she lost
The dreams that she wrapped
And shelved in the past.
Martyn Grindrod Jul 2019
Archipelago of fire
Beautiful muchness high admire
Mediterranean sunset, Silvery moon
shallow drift of a blue lagoon

biblical , roman citadel
Rabat rabbit , Mdina befell
allied ally , friend nay foe
Britannia forevermore

Africa, europe nearer unsure
Divided ocean's fight it's land
a Country much sought after
beaches of many laughter

Pleasure crafts, weekend a saunter
line up deep blue still
for Malta's high nightlife
St Julian's hip paceville

Little Malta's big on me
three islands ,three cities more
Sunshine eternal burn
'til adventurers return

Martyn Grindrod
Just back today from a wonderful holiday in sun kissed Malta.
Here is my thoughts in poet form.
Les mouettes volent et jouent ;
Et les blancs coursiers de la mer,
Cabrés sur les vagues, secouent
Leurs crins échevelés dans l'air.

Le jour tombe ; une fine pluie
Eteint les fournaises du soir,
Et le steam-boat crachant la suie
Rabat son long panache noir.

Plus pâle que le ciel livide
Je vais au pays du charbon,
Du brouillard et du suicide ;
- Pour se tuer le temps est bon.

Mon désir avide se noie
Dans le gouffre amer qui blanchit ;
Le vaisseau danse, l'eau tournoie,
Le vent de plus en plus fraîchit.

Oh ! je me sens l'âme navrée ;
L'Océan gonfle, en soupirant,
Sa poitrine désespérée,
Comme un ami qui me comprend.

Allons, peines d'amour perdues,
Espoirs lassés, illusions
Du socle idéal descendues,
Un saut dans les moites sillons !

A la mer, souffrances passées,
Qui revenez toujours, pressant
Vos blessures cicatrisées
Pour leur faire pleurer du sang !

A la mer, spectre de mes rêves,
Regrets aux mortelles pâleurs
Dans un coeur rouge ayant sept glaives,
Comme la mère des douleurs.

Chaque fantôme plonge et lutte
Quelques instants avec le flot
Qui sur lui ferme sa volute
Et l'engloutit dans un sanglot.

Lest de l'âme, pesant bagage,
Trésors misérables et chers,
Sombrez, et dans votre naufrage
Je vais vous suivre au fond des mers.

Bleuâtre, enflé, méconnaissable,
Bercé par le flot qui bruit,
Sur l'humide oreiller du sable
Je dormirai bien cette nuit !

... Mais une femme dans sa mante
Sur le pont assise à l'écart,
Une femme jeune et charmante
Lève vers moi son regard,

Dans ce regard, à ma détresse
La Sympathie à bras ouverts
Parle et sourit, soeur ou maîtresse,
Salut, yeux bleus ! bonsoir, flots verts !

Les mouettes voient et jouent ;
Et les blancs coursiers de la mer,
Cabrés sur les vagues, secouent
Leurs crins échevelés dans l'air.
Ce nuage est bien noir : - sur le ciel il se roule,
Comme sur les galets de la côte une houle.
L'ouragan l'éperonne, il s'avance à grands pas.
- A le voir ainsi fait, on dirait, n'est-ce pas ?
Un beau cheval arabe, à la crinière brune,
Qui court et fait voler les sables de la dune.
Je crois qu'il va pleuvoir : - la bise ouvre ses flancs,
Et par la déchirure il sort des éclairs blancs.
Rentrons. - Au bord des toits la frêle girouette
D'une minute à l'autre en grinçant pirouette,
Le martinet, sentant l'orage, près du sol
Afin de l'éviter rabat son léger vol ;
- Des arbres du jardin les cimes tremblent toutes.
La pluie ! - Oh ! voyez donc comme les larges gouttes
Glissent de feuille en feuille et passent à travers
La tonnelle fleurie et les frais arceaux verts !
Des marches du perron en longues cascatelles,
Voyez comme l'eau tombe, et de blanches dentelles
Borde les frontons gris ! - Dans les chemins sablés,
Les ruisseaux en torrents subitement gonflés
Avec leurs flots boueux mêlés de coquillages
Entraînent sans pitié les fleurs et les feuillages ;
Tout est perdu : - Jasmins aux pétales nacrés,
Belles-de-nuit fuyant l'astre aux rayons dorés,
Volubilis chargés de cloches et de vrilles,
Roses de tous pays et de toutes famines,
Douces filles de Juin, frais et riant trésor !
La mouche que l'orage arrête en son essor,
Le faucheux aux longs pieds et la fourmi se noient
Dans cet autre océan dont les vagues tournoient.
- Que faire de soi-même et du temps, quand il pleut
Comme pour un nouveau déluge, et qu'on ne peut
Aller voir ses amis et qu'il faut qu'on demeure ?
Les uns prennent un livre en main afin que l'heure
Hâte son pas boiteux, et dans l'éternité
Plonge sans peser trop sur leur oisiveté ;
Les autres gravement font de la politique,
Sur l'ouvrage du jour exercent leur critique ;
Ceux-ci causent entre eux de chiens et de chevaux,
De femmes à la mode et d'opéras nouveaux ;
Ceux-là du coin de l'oeil se mirent dans la glace,
Débitent des fadeurs, des bons mots à la glace,
Ou, du binocle armés, regardent un tableau.
- Moi, j'écoute le son de l'eau tombant dans l'eau.
Khayaal Chetty Jul 2017
De voir l'oiseau vert est de donner de la tristesse
Car il ne pourrait jamais se voir
Il ne savait que ce qu'il y a à voir

Il volait comme ci c'est rien d'avoir de la puissance d'être en air
Le rabat des ailles continuait toujours
Quand même ils sont éphémère

L'oiseau volait de tout course
Le cœur ébahi se faire un instinct énormément

— The End —